Libération
 Bréhal, le 16 juillet 2024, Sport équestre. Equipe de France d'équitation. Préparation aux Jeux Olympiques de Paris. Métier de groom. SUR LA PHOTO: Crinière de cheval.Fabrice Picard/Libération

Dans l'œil de Libé

EN IMAGES - Les grooms, un métier olympique au service du cheval

Aux côtés du couple cavalier-cheval, le groom, ce soigneur multifonction, est un acteur indispensable des sports équestres. Membre-clé du trio, il agit néanmoins en coulisses.
publié le 6 août 2024 à 18h36
Bréhal, le 16 juillet 2024, Sport équestre. Equipe de France d'équitation. Préparation aux Jeux Olympiques de Paris. Métier de groom. SUR LA PHOTO: Crinière de cheval.
Fabrice Picard/Libération
<br/>
Les grooms «ont une vie très particulière, [...] parce qu'ils ne sont jamais chez eux, toujours en déplacement», explique la cavalier Nicolas Touzaint. Lors des concours, ces soigneurs accompagnent les équidés à chaque étape.
Fabrice Picard/Libération
A 17 ans, Triton Fontaine est l'un des plus vieux chevaux de la sélection française pour les JO. «Comme son maître», plaisante son cavalier, Karim Laghouag, doyen de la délégation française de 49 ans.
Fabrice Picard/Libération
Lorsque Coraline Radigue se tient à côté de Triton Fontaine, la groom l'embrasse sur le front très régulièrement.
Fabrice Picard/Libération
Pendant la toilette, rituel post-entraînement, les grooms tentent d'occuper leurs chevaux avec des objets qui servent de distraction.
Fabrice Picard/Libération
Coraline Radigue, groom de Karim Laghouag et de Triton Fontaine, ne se déplace jamais sans son carnet, dans lequel elle note tous les soins que reçoit l'équidé. Une façon de le connaître «encore plus que par cœur».
Fabrice Picard/Libération
Aure Coulange, groom depuis quelques années, a pendant un temps voulu faire une pause dans le métier. «Mais c'était impossible d'arrêter, ça nous colle à la peau».
Fabrice Picard/Libération
Groom du cavalier Nicolas Touzaint, elle apprécie son travail à l'ombre des projecteurs. «Pour rien au monde je ne voudrais être cavalier !» assure-t-elle.
Fabrice Picard/Libération
Après chaque séance d'entraînement, Aure Coulange se retrouve en tête à tête avec Diabolo-Menthe, entre les quatre murs de son box. Une aubaine pour celle qui «préfère la compagnie des animaux à celle des humains».
Fabrice Picard/Libération
Diabolo-Menthe est un cheval «anxieux, [qui] appréhende beaucoup les compétitions [et] s'agite beaucoup», selon sa groom, Aure Coulange.
Fabrice Picard/Libération