Inscrivez-vous pour recevoir gratuitement notre newsletter Libélympique tous les matins pendant les Jeux.
En voyant l’alinéa «éventuellement haltérophilie» sur notre feuille de route olympique – résumée en un mot, la bagarre, en kimono, avec des gants, à mains nues – une collègue avait éclaté de rire : «Bien déconstruit comme plan de vol !» Sur le papier, oui, on ne pouvait faire plus viriliste. Sauf que. Si on avait coché le créneau du 9 août à 19 h 30, c’était pour aller voir des femmes de moins de 71 kilos arracher de la fonte aux forces de la gravité.
Malgré nos vagues notions pour faire le distinguo entre «arraché» et «épaulé-jeté», on avait choisi de faire confiance à un autre confrère. Un journaliste sportif, un vrai, qui bosse pour une radio privée et connaît les gymnases du bou