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C’était le 2 août, il y a presque un mois jour pour jour. Les fesses vissées dans mon canapé, télé allumée sur France 2, 3 ou 4, j’avais vibré devant la plus belle des journées de la délégation française aux Jeux olympiques. Au poste, Emmanuel Macron faisait office de fil conducteur, présent à chaque podium, serrant dans ses bras de manière un peu gênante chaque athlète tricolore médaillé. C’était comme s’il se téléportait de site en site. Le bronze par équipe en équitation à Versailles ? Il y était. L’or de Riner et le bronze de Dicko au Champ-de-Mars ? Pareil.