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On ne s’est pas essayé à sonder la popularité, en France, de chacun des 4 400 athlètes qui participent aux Jeux paralympiques. Mais il y a fort à parier que Diede de Groot aurait été assez haut placée dans cette longue liste. Les Français ne la connaissent pas forcément pour son palmarès à rallonge – 23 Grand Chelem en simple tout de même, autant que Serena Williams. Son nom ne parle pas à grand monde non plus. Son visage, en revanche, beaucoup l’ont vu ces deux dernières années sur leurs écrans, aux alentours de la fin mai, une demi-douzaine de fois par jour.
Sur France 2 ou France 3, avant ou après les matchs de Roland-Garros, entre les jeux ou les sets, la Néerlandaise apparaissait en fauteuil roulant dans une pub de Renault, tapant la balle avec Luca Van Assche, Félix Auger-Aliassime ou Casper Ruud. Jusqu’à en fatiguer le téléspectateur – la réclame est plutôt bien faite, mais à la 154e fois, le morceau d’Etienne Daho