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«C’est notre Antoine Dupont à nous.» Vendredi 23 août, en amont du dernier entraînement public de l’équipe de France de rugby fauteuil avant les Jeux, au Centre de ressources, d’expertise et de performance sportive de Vichy, le Belge Bob Vanacker, coach principal, fait lui-même la comparaison entre le chouchou français qui a fait vibrer les 80 000 supporteurs du stade de France fin juillet et son capitaine, Jonathan Hivernat, treize ans de rugby fauteuil dans les bras. Rapidité, sérénité, «une machine», «un lâche rien», staff et coéquipiers multiplient les louanges de leur «gros point» – entendez par là un joueur offensif, au fauteuil arrondi, chargé de marquer les essais –, clé de voûte d’une équipe qui arrive à maturation après trois ans d’une lente montée en puissance depuis les Jeux de Tokyo, en 2021.
«J’arrive à embarquer toute l’équipe avec moi»
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