Inscrivez-vous pour recevoir gratuitement notre newsletter Libélympique tous les matins pendant les Jeux paralympiques.
La barre est haute : les Jeux olympiques de Paris 2024 ont été un carton médiatique. Ils ont notamment permis à France Télévisions de réaliser en moyenne 50,2 % de parts d’audience, France 2 se classant première chaîne pendant toute la quinzaine – Eurosport, diffuseur payant de l’intégralité, a pour sa part augmenté son audience de 37 % par rapport à Tokyo 2021. Alors, le spectateur fera-t-il aussi des Paralympiques un pic d’attention, sachant que la médiatisation est un enjeu clé de l’inclusion du handicap ? Aura-t-il autant envie de voir et de suivre des athlètes dont les performances, aussi remarquables soient-elles, ne bénéficient jamais du même retentissement que celles des dits «valides» ? Toutes les conditions sont réunies, selon Laurence Pécaut-Rivolier, qui préside le groupe de travail «Protection des publics et diversité de la société française» de l’Arcom, l’autorité de régulation de l’audiovisuel français.
Quel