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Une préparation sur-mesure planifiée dans les moindres détails par les meilleurs experts et suivie sans concession par une athlète qui n’a plus que son objectif en tête… Alice Finot, coureuse de 3 000 m steeple semble avoir éradiqué dans son «projet olympique» la notion même de hasard. De probabilité. De doute. De conditionnel. Son titre européen, en juin : «Il m’était dû, j’étais à 80 % de ma forme, en contrôle.» Sa saison : «Elle s’est passée comme prévu.» Tactiquement, elle avait fait l’expérience d’une course ratée aux championnats du monde d’Eugene, aux Etats-Unis, en 2022. Elle ne risquait plus de «courir comme une cadette», Finot ne fait pas la même erreur deux fois. L’an dernier, elle terminait 5e aux championnats du monde de Budapest après un dernier tour supersonique (reclassée 4e après la disqualification pour dopage de l’Ethiopienne Zerfe Wondemagegn). Cette année, elle débarquait encore plus forte, sixième performeuse de l’année. Mardi 6 août, elle a terminé au pied du podium au Stade de