Il y a une semaine pile, on se disait qu’on allait pouvoir se souffler. Qu’avec l’athlétisme, terrain peu probable à une déferlante de médailles françaises, c’en était fini du grand huit émotionnel provoqué par Antoine, Léon, Teddy, Joan-Benjamin et Clarisse, Alexis et Félix,
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JO de Paris 2024 : après avoir passé en moyenne 19 heures devant la télé, il va falloir récupérer
Chaque jour, on s’installe devant le poste pour commenter l’actu entourant les Jeux. Aujourd’hui, vu l’ascenseur émotionnel, on est au bord de déposer réclamation : n’était-on pas en droit de bénéficier d’un préparateur mental national ?
Dans un café à Paris, le 31 juillet 2024. (Stephanie Lecocq/REUTERS)
Publié le 09/08/2024 à 15h58
Enquête Libé
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