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De Mohamed Ali à Wladimir Klitschko, en passant par Oscar de la Hoya, Joe Frazier, George Foreman, ou, plus près de nous, Floyd Mayweather, Anthony Joshua et Oleksandr Usyk, moult superstars du noble art sont nés au monde sur les rings olympiques, casqués et vêtus des seyantes petites chasubles des amateurs. Pourtant, à entendre les connaisseurs, la boxe amateur (celle pratiquée aux Jeux, donc) et la boxe professionnelle sont deux sports cousins mais profondément différents – une question de règles, mais aussi de culture tactique et de philosophie.
Note à la touche
«La boxe amateur, c’est un 100 mètres ; la pro, c’est courir le marathon», résume d’emblée Brahim Asloum, champion olympique poids mi-mouches à Sydney en 2000 puis champion du monde WBA sept ans plus tard. Aux JO