Cela semblait acquis depuis le début de ces Jeux de Paris. Tout était beau, des sites aux sportifs et jusqu’au public, au rendez-vous partout, soutien infatigable et vibrant des équipes hexagonales mais qui sait aussi reconnaître la valeur des autres comme l’a prouvé l’ovation réservée au judoka Tatsuru Saito, effondré après ses deux combats perdus contre Teddy Riner lors de la titanesque finale par équipes mixtes. Des fans tout à leur joie qui entonnent la Marseillaise à s’en casser la voix, mais fair-play, pas excessivement chauvins. «Magnifique». Et participant à la carte postale d’un pays apaisé et idyllique que relaient les médias étrangers depuis le 26 juillet.
A lire aussi
Ce que vit l’arrière-droit de l’équipe de France de handball Dika Mem vient écorner sérieusement le cliché. 15 h 07 : c’est à ce moment-là que, ce mercredi au stade Pierre-Mauroy de Villeneuve-d’Ascq, Mem a loupé une remise en jeu capitale. A six secondes de la fin du match, la France menait d’un but et sa passe est interceptée par les Allemands, qui marquent. Bourde qui envoie les deux équi