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C’est tout de même cocasse, tous ces Américains avec des tee-shirts rouge «Team USA» auxquels on impose du Plastic Bertrand dans les écoutilles. Cocasses aussi, les faux sons de trompette sortis des enceintes de la Bercy Arena et la voix banale du présentateur qui enjoint le public à dire «allllezzz !» sans aucune raison. Sur ces entrefaites gênantes, l’explosion de décibels survient quand la reine Simone Biles débarque.
Mardi soir, la meilleure gymnaste de l’histoire et ses quatre camarades, Sunisa Lee, Jordan Chiles, Jade Carey et Hezly Rivera ont récupéré leur titre de championnes olympiques de gymnastique par équipes, trois ans après une deuxième place à Tokyo derrière les Russes. Elles devancent de six points les Italiennes et les Brésiliennes. Elles appellent cette victoire un «Redemption Tour». De notre côté, on se permettra de nommer ça plus prosaïquement «une branlée».
Jeu vidéo
Néons, «USA, USA, USA», saluts des gymnastes auprès de la foule en délire : dès les premières secondes d’échauffement, l’équipe américaine en justaucorps blanc-rouge-bleu semblait au-dessus des