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Il n’y a pas eu de cérémonie d’ouverture pour les joueurs de l’équipe de France de rugby à VII. Non pas parce qu’ils sont allés cuver ailleurs leur tristesse pour élimination précoce, comme on aurait pu l’imaginer après leur piètre entrée en matière en poule mercredi 24 juillet. Mais le resserrage de vis jeudi en quart de finale face à l’Argentine (26-14) a évité l’échec XXL. L’affaire avait été convenue ainsi, en amont, lors de discussions entre le staff et les joueurs : le rugby à VII est un sport qui coupe les pattes comme pas d’autres, et il n’était pas question, avant la demi-finale voire la finale de samedi de perdre une seconde de récupération – ou de réparation pour les quelques joueurs cassés après les quatre premiers matchs.
L’enjeu est de taille, car c’est surtout dans le physique que se trouve la clé de ce dernier carré. La cohésion du groupe, q