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JO de Paris 2024 : jusqu’ici, l’organisation de la grand-messe tient toutes ses promesses

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JO Paris 2024dossier
Après des mois d’incertitude et de critiques, les organisateurs savourent une première semaine de Jeux sans anicroche, le tout couronné par de belles images et une affluence historique sur les lieux de compétition.
Lors de l'épreuve de triathlon femmes des Jeux olympiques sur le pont Alexandre-III, à Paris le 31 juillet 2024. (Denis Allard/Libération)
publié le 2 août 2024 à 21h36

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«On souhaite bien du courage à Los Angeles.» Après des années de taf et des mois de réticences râleuses à tous les étages – so French –, ça se frise pas mal les moustaches, du Comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques (Cojop) à la mairie de Paris après une semaine de Jeux olympiques sans une seule grosse anicroche. La presse étrangère, les touristes et les Parisiens (qui n’ont pas fui), tout le monde s’accorde : en matière de belles images, il sera difficile aux prochaines villes hôtes, dont Los Angeles dans quatre ans, de faire mieux que ce Paris sous lumières olympiques.

Conçus pour épater, les sites remplissent toutes leurs promesses, du beach-volley sous la tour Eiffel à l’escrime sous l’immense verrière du Grand Palais. Des Jeux dans la ville, proclamait le Comité d’organisation depuis le dossier de candidature en 2017. Sept ans plus tard, on se retrouve surtout avec une ville entière dans les Jeux.

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Après la cérémonie d’ouverture, il restait à cocher une case très compliquée : le triathlon et son épreuve d