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Dans le fracas de Teahupo’o, on n’entend pas claquer les dents. Et pourtant, tous les surfeurs racontent à quel point ils sont morts de trouille quand ils s’approchent du mythe. La vague la plus dangereuse du monde, c’est un panneau (rouge) qui le dit, planté dans le sable (noir) du petit village tahitien où se déroulent depuis samedi 27 juillet les épreuves de surf des JO de Paris, à près de 16 000 km de la capitale. Tout autour, des pyramides vertes – ou des morceaux de Toblerone, c’est selon –, réminiscences d’anciens volcans, qui plongent dans un lagon cristallin. Idyllique. Et trompeur.
Teahupo’o, «c’est la belle et la bête. Elle est connue pour être un monstre mais c’est un monstre parfait», disait joliment Vahine Fierro, de passage à Paris mi-juin, avant de retrouver aisément en huitième de finale ce mercredi 31 juillet face à sa coéquipière tricolore Johanne Defay. Pour apprendre à connaître «sa vague», la Tahitienne a att