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Place du Trocadéro, les ouvriers installent les structures qui accueilleront la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, le 26 juillet. Il faut se faufiler entre des barrières pour dénicher, cachée derrière un camion de livraison, l’entrée de l’Aquarium de Paris. «Beaucoup de clients nous disent qu’ils n’arrivent pas à nous trouver», explique Antoine Faure, à l’accueil. «Heureusement, nous avons croisé un employé qui nous a guidés», abonde Anne-Marie Yokel, professeure des écoles venue en visite avec sa classe de CE1 du Val-d’Oise. Et encore, les élèves ont eu la chance de voir leur visite maintenue. Alors que les restrictions d’accès aux abords des zones olympiques ne sont même pas encore en vigueur, de nombreux groupes scolaires se sont désistés, devant un déplacement compliqué par les rues coupées à la circulation. L’Aquarium n’est pas au bout de ses peines : à partir de la mi-juillet, les touristes qui veulent admirer les poissons parisiens devront présenter un pass JO pour accéder à ce qui va devenir une «zone grise», les plus difficiles d’accès. Selon le président du lieu, Alexis Powilewicz, la fréquentation est «facilement en baisse de 30 % sur les mois de mai et juin et certainement à 50 % si on inclut la restauration». C’est habituellement la période de haute