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La bande à Collet s’offre un nouveau rêve. De ceux qu’on croit qu’ils n’arrivent qu’une fois dans une carrière. Pourtant certains anciens – les Nicolas Batum, Evan Fournier, Rudy Gobert – vont bien retourner sur le parquet parisien samedi 10 août pour une seconde finale olympique, trois ans après les espoirs de graal déçus à Tokyo, soufflés par des Américains qu’ils pourraient retrouver à Bercy.
Il leur faudra déjà récupérer de cette revanche de jeudi contre les Allemands (73-69), les mêmes qui les avaient punis en poules. Une partie âpre, rude. C’était le lot avec deux sélections chérissant plus que tout la protection de leur panier. Les Allemands mieux que quiconque, n’encaissant pas plus de 71 points de moyenne sur le tournoi. Entre-temps, Vincent Collet s’est bien creusé la tête. Sur son banc pendant la demi-finale, il a testé mille et une combinaisons. A défaut de toutes fonctionner, elles ont eu le mérite de désorienter le rideau allemand.
Pilonner la raquette
Longtemps inopérants en attaque, surtout à 3 points, les Bleus se sont souvenus du match de mardi contre les Canadiens. De ceux d’avant aussi.