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Il y a des séquences qui ne trompent pas. Dès que le buzzer de fin a retenti, les Françaises se sont toutes naturellement dirigées vers Laura Glauser. Quelques minutes plus tôt, la native de Besançon avait fixé longtemps son banc, avec le regard de celle qui connaissait déjà l’issue. Les Bleues du hand sont où elles devaient être à date du 6 août : en demies, après avoir longtemps eu les Allemandes dans les pattes (26-23). Et comme souvent lorsque les matchs commencent à compter double, Glauser n’y est pas pour rien.
Chez les hommes
Mardi après-midi, elle a dit «non» à plus d’un tiers des tirs adverses. Zéro but encaissé au cours des dix premières minutes, voilà qui n’a pas dû lui arriver souvent. «Jamais», confirme-t-elle après le match, la tresse un peu en fouillis, après l’avoir tournicotée pendant soixante minutes. Une pluie d’arrêts qui ne fut pas de trop, car de l’autre côté du terrain, les Fr