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Judo

JO de Paris 2024 : peluche panda, ceinture porte-bonheur et massage, les rituels d’avant combat de Romane Dicko

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Tous les athlètes ont leur doudou, mental ou physique, avant une compétition. La judoka Romane Dicko, elle, coud et blague.
La judoka Romane Dicko, le lundi 29 juillet. (Stéphane Mantey/PRESSE SPORTS)
publié le 1er août 2024 à 18h22

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Le judoka aime les rituels. Rien d’étrange quand tout ce qui tourne autour de l’art martial japonais est codifié. Mais pour les compétiteurs, plus encore, il faut savoir meubler les longues pauses entre chaque combat lors d’une journée de tournoi (olympique, qui plus est). Qu’il s’agisse de récupérer ou refaire ses gammes dans la salle d’échauffement, de gérer le stress en salle d’appel, et enfin de juguler le stress au moment de monter sur le tapis. A chacun ses petites traditions, manies, excentricités, donc. Teddy Riner, par exemple, blinde son sac de brioches et autres sucreries, dans la crainte d’une fringale, mais n’y touche jamais.

Shirine Boukli, elle, nous a raconté l’importance d’un chewing-gum à la caféine dans les derniers instants. D’autres s’accrochent à leurs smartphones pour s’évader jusqu’à la dernière seconde, au point où certains ont fini disqualifiés pour avoir oublier de l’enlever du revers de leur kimono, l’objet tombant de leur veste en plein combat

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