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C’est un plan d’eau que chaque membre de la délégation tricolore connaît «par cœur», jusqu’au moindre centimètre cube. «On commence à connaître toutes les bouées», se marre le rameur Hugo Beurey, qui va, à 26 ans, découvrir les Jeux. En revanche, le Nancéien est bien au fait du décor : le stade nautique de Vaires-sur-Marne (Seine-et-Marne), qui accueille à partir de ce samedi 27 juillet l’élite des kayakistes, céistes et autres rameurs de classe mondiale durant les olympiades franciliennes. Une base flambant neuve, cinq hectares recouverts d’un grand lac naturel de deux kilomètres, remodelé format olympique dès 2015. Ludovic Royé, directeur technique national de la Fédération française de canoë-kayak (FFCK), vante «l’un des plus grands bassins au monde, pour ne pas dire le plus grand». A tout le moins, il est l’un des trois sites sur la planète avec Pékin et Sydney en mesure de regrouper les épreuves olympiques et paralympiques de canoë-kayak et d’aviron.
Un plan d’eau hors normes, dont l’inauguration sous sa forme actuelle a eu lieu en juin 2019, après qua