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Illustres inconnus ou stars planétaires, Emmanuel Macron n’a lâché aucun nom mardi, à trois jours d’une cérémonie d’ouverture des JO de Paris nimbée de secrets et de rumeurs depuis quatre ans. «Céline Dion, bien sûr qu’on va en parler ici», a bien tenté Thomas Sotto dès la prise d’antenne ne s’attirant qu’un sourire présidentiel poli en retour. «J’ai coutume de dire que les Jeux olympiques, c’est une fois par siècle, mais une cérémonie comme celle-ci, ce sera unique dans l’histoire des JO», s’est contenté de répondre le chef de l’Etat, enterrant tout «plan B» (loin de la Seine), une option qu’il avait lui-même dévoilée au printemps, semant le bazar à tous les étages du comité d’organisation. «Après vendredi, va s’ouvrir une nouvelle page. On a besoin de se ré-enthousiasmer», a-t-il insisté, six semaines après sa dissolution de l’Assemblée qui a plongé le pays dans une crise politique inédite.
Comme autant de signes tangibles de cette page qu’il veut tourner, le président de la République répondait aux questions des journalistes depuis le toit du musée de l’H