Ce qu’il y a de plus infamant dans le 13-13 concédé le dimanche 25 février, à Lille, à une Italie, certes valeureuse, mais pas non plus transmuée en terreur, c’est l’adjectif «nul» qui sied au score. Le seul qui puisse qualifier la contre-performance. De fait, depuis maintenant deux semaines, les Bleus ont les oreilles qui sifflent. A la limite – et avec un minimum d’aveuglement –, on pouvait accorder le bénéfice du doute à la victoire «dérobée» à l’Ecosse, lors de la deuxième journée du Tournoi des six nations. Mais, après un quatrième couac de suite (puisqu’il faut ajouter l’élimination en quart de finale de la coupe du monde face à l’Afrique du Sud, puis l’écrasante victoire de l’Irlande, à Marseille, en ouverture du tournoi), plus personne (hormis le capitaine Grégory Alld
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Tournoi des six nations : Galles-France, à l’heure du réveil
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Les Bleus après le nul concédé face à l'Ecosse, dans le Tournois des six nations, le 25 février à Lille. (David Rogers/Getty Images. AFP)
par Gilles Renault
publié le 9 mars 2024 à 6h59
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