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Roland-Garros : le blues de la balle jaune

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Après un an de contraintes sanitaires, tous les joueurs n’arrivent pas avec un mental d’acier pour l’édition 2021 du Grand Chelem parisien, qui a commencé dimanche Porte d’Auteuil.
Roland Garros, le 30 mai (Mathias Depardon/Libération)
publié le 30 mai 2021 à 19h39

Après des semaines de météo bretonne, les beaux jours arrivent enfin. Une veine pour les fans de tennis impatients de profiter d’un Roland-Garros qui devrait, en partie, retrouver ses lettres de noblesse. L’ocre parisien ne sera pas aussi terne cette année qu’il l’a été à l’automne, où les joueurs ont évolué sur des courts déserts et sous un ciel couvert. Le tournoi va même être celui du retour progressif à la normale puisqu’il va évoluer au rythme du déconfinement français. Pour autant, après un an de huis clos et de contraintes drastiques, les joueurs sont nombreux à débarquer avec le moral un peu dans les chaussettes.

La numéro 2 mondiale, Naomi Osaka, a d’ailleurs jeté un pavé dans la mare ce jeudi en annonçant son refus de participe