Antisémitisme

L’animateur et producteur télé sort mercredi son premier livre, pour dire le «sentiment d’abandon» des Français juifs face à «la montée de l’antisémitisme», dans le contexte de la guerre à Gaza, a-t-il déclaré mardi sur France Inter.

Un sexagénaire de confession juive a été violemment frappé dans la rue, samedi 27 septembre, à Yerres. L’agresseur aurait agit seul, insultant et meçant sa victime avant de prendre la fuite.

La lutte contre les «discriminations» dans l’enseignement supérieur passe aussi par une hausse des «moyens humains et financiers», assure le syndicat étudiant, après une rentrée marquée par plusieurs affaires.

L’édile Place publique va soumettre une délibération à son conseil municipal jeudi 25 septembre pour démettre Lila Djellali de ses fonctions d’adjointe, ainsi que sa charge de l’économie sociale et solidaire et de l’alimentation durable.

Poursuivi pour injure publique par le parti de Jean-Luc Mélenchon, l’essayiste et philosophe a tenté mardi 23 septembre de retourner le procès pour en faire celui de l’antisémitisme supposé du parti de gauche.

«Libération» a passé Roch Hachana dans une synagogue parisienne puis dans un repas entre amis, où les témoignages d’antisémitisme se sont mêlés à l’incompréhension de la démarche d’Emmanuel Macron.

La France insoumise poursuit mardi le philosophe devant le tribunal correctionnel de Paris pour injure publique, un procès que l’intellectuel espère retourner contre le parti mélenchoniste pour démontrer son supposé antisémitisme.

Des sensibilisations spécifiques sont indispensables pour combattre la haine et la division qui rongent notre société, affirment le rabbin Emile Ackermann et l’élue écologiste Lila Djellali, qui a suivi une formation sur l’antisémitisme.

Le président de la République a voulu, ce samedi 20 septembre, assurer la communauté juive de France de la «mobilisation» du pays contre l’antisémitisme via une circulaire demandant une réponse pénale ferme.

Paris 1 a annoncé, ce samedi 20 septembre, avoir identifié un étudiant soupçonné d’avoir exclu plusieurs de ses camarades d’un groupe de discussion en ligne «en raison de leur supposé sionisme» ou «prétendue appartenance religieuse».

Hichem Harb, 70 ans, est suspecté d’avoir été membre du commando ayant tué six personnes dans un restaurant juif parisien en 1982. Emmanuel Macron assure travailler à «une extradition rapide».

Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions : chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.

Des centaines de chercheurs et professeurs de différents pays interpellent l’université californienne et expriment leur inquiétude à propos de l’enquête visant 160 étudiants et enseignants pour des «incidents antisémites présumés».

Les opposants au premier secrétaire l’accusent d’alimenter l’antisémitisme, quitte à largement déformer ses propos.

Le ministre de l’Enseignement supérieur a dit lundi 15 septembre faire «confiance à l’université pour prendre des mesures disciplinaires». Un sondage à caractère antisémite avait déjà été publié fin août sur un autre groupe étudiant.

L’université de Berkeley a transmis vendredi les noms de 160 enseignants et étudiants à l’administration américaine dans le cadre d’une enquête sur des «actes présumés d’antisémitisme».

Depuis deux ans, les affaires d'ingérence se sont multipliées en France. Des opérations qui rejoignent l’objectif de la Russie et de ses alliés d’amplifier les fractures des sociétés européennes, rappelle le chercheur Maxime Audinet.

Les inscriptions ont été découvertes ce dimanche 31 août sur une stèle en mémoire de Yitzhak Rabin et un monument aux Juifs, à Bron, dans la banlieue de la préfecture du Rhône. La veille déjà, un mémorial de la Shoah avait été dégradé.

Une inscription «Free Gaza» a été gravé samedi 30 août sur une stèle du monument «les Rails de la mémoire».

Une enquête avait été ouverte après l’abattage d’un olivier planté en hommage à Ilan Halimi, jeune Juif torturé à mort en 2006, à Epinay-sur-Seine.

L’essentiel de l’actualité de ce jour.

Le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) a déploré une «vague d’actes antisémites d’une gravité inédite» à Lyon et sa région, s’inquiétant d’une «atmosphère empoisonnée».

Le responsable rapporte que ses services de renseignement sont parvenus à la conclusion que Téhéran avait orchestré au moins deux attaques antisémites.

L’homme de 32 ans a dit avoir voulu taguer les véhicules de «juifs israéliens» pour «faire entendre sa voix et passer un message sur la Palestine».

Le chiffre représente une diminution de 27,5% par rapport au recensement de 2024 sur la même période, selon les données du ministère de l’Intérieur. Il reste malgré tout plus de deux fois supérieur à celui du premier semestre 2023.

Le gouvernement et la gauche ont dénoncé l’accusation formulée par Charles Kushner, y voyant un amalgame entre la critique légitime du gouvernement Nétanyahou et l’antisémitisme. L’extrême droite n’a rien trouvé à redire sur le fond.

Dans une lettre adressée au chef de l’Etat obtenue ce dimanche 24 août au soir par l’AFP, Charles Kushner a appuyé les arguments de Benyamin Nétanyahou qui a récemment critiqué la volonté de la France de reconnaître un Etat palestinien.

L’homme, âgé de 32 ans, est un saisonnier de la station de Châtel, où se trouvaient les véhicules dégradés. Lors des interrogatoires, il a dit vouloir cibler des «juifs israéliens» pour «faire entendre sa voix et passer un message sur la Pa

L’homme âgé de 52 ans a été déféré et présenté à un juge ce samedi 23 août. Lui continue de nier toute discrimination et affirme qu’il s’agissait d’une question de «sécurité».

Le parquet de Perpignan a confirmé ce jeudi 21 août le placement en garde à vue du gérant d’un parc de loisirs dans le sud des Pyrénées-Orientales. L’homme de 52 ans encourt 3 ans de prison.

Quatre véhicules appartenant à des membres d’une communauté juive orthodoxe, habituée des lieux, ont été marqués à la peinture orange, ce mercredi 20 août, dans la petite station de Chatel, en Haute-Savoie.

Dans un courrier officiel ce mardi 19 août, le Premier ministre israélien s’en est à nouveau pris à la volonté du président français d’appeler à la reconnaissance internationale de l’Etat de Palestine. L’Elysée a vivement répondu.

Des habitants de la ville d’Epinay-sur-Seine sont venus se recueillir ce 15 août dans le jardin de la ville où avait été planté un arbre en hommage au jeune homme juif tué en 2006. Une enquête a été ouverte à la suite de la dégradation.

Cet arbre avait été planté à Epinay-sur-Seine après la mort en 2006 de ce jeune homme de confession juive, séquestré et torturé par «le gang des barbares».

Le polémiste, condamné notamment pour antisémitisme et injures raciales, s’est produit en catimini devant 150 personnes près de Rennes vendredi 8 août et devrait en faire de même près de Lorient ce samedi.

Dans une vidéo diffusée sur YouTube, le rabbin David Daniel Cohen, qui semble vivre en Israël, s’en est pris à Emmanuel Macron, à qui il reproche son projet de reconnaissance de l’Etat de Palestine.

La Délégation des associations israélites argentines (DAIA) a dénoncé un «acte grave d’antisémitisme», lors d’un vol qui reliait Buenos Aires à Madrid le lundi 4 août. La compagnie aérienne a présenté ses excuses et ouvert une enquête.

Le Parquet national antiterroriste avait requis le renvoi aux assises mi-juillet, dans l’enquête sur l’attaque antisémite qui avait fait six morts dans le quartier juif du Marais, à Paris, en 1982.

Un compte, attribué à la jeune fille, comportait des messages appelant à tuer des juifs. Sur X, le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a martelé que «les propagandistes du Hamas [n’avaient] rien à faire dans notre pays».

Dans un post sur X publié samedi, Oscar Puente a assimilé les enfants français de confession juive débarqués de l’avion à des citoyens israéliens. Une déclaration que les deux ministres français jugent stigmatisante.