Brexit

L’artisan du Brexit n’a jamais eu besoin d’être député pour s’affirmer comme l’un des hommes les plus influents de la droite britannique. Il se voit déjà en nouveau chef de l'opposition.

L’éternel et dangereux provocateur d’extrême-droite a repris la propagande de Vladimir Poutine sur la BBC en affirmant que l’Occident est responsable de l’invasion de l’Ukraine. Ses propos ont suscité des critiques unanimes outre-Manche.

La décision prise dimanche par le président français rappelle le moment où le Premier ministre britannique a décidé seul de jouer à pile ou face l’avenir de son pays, en proposant un référendum sur son appartenance à l’UE.

Comment expliquer que le Débarquement en Normandie a subi une américanisation de sa mémoire, au détriment de celle du Royaume-Uni ?

Le nouveau chef du parti Reform UK s’exprimait lors d’un rassemblement ce mardi 4 juin, après avoir annoncé quelques heures plus tôt qu’il serait finalement candidat aux législatives.

Rebondissement dans une campagne qui semblait jouée d’avance : l’ancien chef de l’ex-Brexit Party a décidé ce lundi 3 juin de se présenter aux élections du 4 juillet et tentera pour la huitième fois de se faire élire au Parlement.

L’UE a réussi à maintenir la paix sur son territoire, à protéger économiquement et socialement ses citoyens et à créer une voix qui pèse dans le monde, le tout en cultivant l’art délicat du compromis et de la négociation.

Selon un rapport du think tank Nuffield Trust, le Brexit est responsable des difficultés d’approvisionnement qui affectent désormais des traitements de plus en plus communs.

Caillou dans la chaussure des négociateurs du Brexit, Jeffrey Donaldson avait bloqué l’exécutif nord-irlandais de 2022 à février 2024. Arrêté jeudi 28 mars avec une femme de 57 ans, selon la BBC, il vient de quitter la tête de son parti.

Selon Gabriel Attal, les maires Rassemblement national expriment leurs sentiments anti-européens en inaugurant des rues du Brexit. Mais il semble qu’il n’en existe qu’une, à Beaucaire, et cette rue ressemble surtout à une impasse.

Alors que le Royaume-Uni cherche à réparer ses liens avec l’Union européenne, le nouveau souverain britannique débarque en France pour renforcer cette fragile amitié et s’affirmer dans son rôle de monarque.

Après en avoir été écarté, le Royaume-Uni va de nouveau rejoindre Horizon Europe, le programme de recherche de l’Union européenne. Un accord salué, qui témoigne de l’apaisement des relations diplomatiques entre Londres et Bruxelles.

Quatre mois avant le référendum, le futur Premier ministre avait écrit deux versions du texte dans lequel il allait dévoiler sa position. L’une pour quitter l’Europe, l’autre pour y rester. Son choix a fait basculer un vote historique.

A l’affiche avec sa dernière création, «The Confessions», le metteur en scène britannique met en regard la situation du théâtre en France et dans son pays, en particulier depuis le Brexit.

Entre le manque de main-d’œuvre, les coûts qui augmentent et les subventions qui tardent à être remplacées, les exploitants sont en première ligne des effets, négatifs, du Brexit.

Alors que les conséquences catastrophiques de la sortie de l’Union européenne, votée le 23 juin 2016, se révèlent peu à peu, le ton a bien changé au Royaume-Uni.

La philosophe belge pense que seul un «populisme de gauche» prenant à bras-le-corps la question écologique permettra de raviver le débat démocratique et de donner des chances de victoire aux progressistes.

Le parti nationaliste, favorable à la réunification avec la République d’Irlande, a dominé les unionistes conservateurs du Democratic Unionist Party. Un résultat qui pourrait apaiser la situation politique en Irlande du Nord.

Le sommet franco-britannique qui se déroule à Paris ce vendredi, la première rencontre bilatérale officielle depuis cinq ans, est placé sous le signe d’une relation renouée et constructive.

C’était un des principaux défis du mandat de Rishi Sunak, réussir là où trois autres Premiers ministres avaient échoué et réconcilier Europe et Royaume-Uni sur la question de l’Irlande du Nord post-Brexit.

Prix qui gonflent, paperasse, manque de personnel et négociations interminables : le Royaume-Uni commence à ressentir concrètement les effets, pour le moment tous négatifs, de sa sortie de l’Union européenne.

D’après une estimation du Centre for European Reform, le Royaume-Uni aurait un PIB 5,5% supérieur à son PIB actuel si le pays n’avait pas quitté l’Union européenne.

Le critique musical essentiel, cofondateur des «Inrockuptibles», installé à Londres et atteint de la maladie de Parkinson, a influencé toute une génération d’artistes et de journalistes.

Essor de l’individualisme, théories du complot, perte des repères… Les documentaires du journaliste britannique déchiffrent les dysfonctionnements du monde depuis l’après-guerre. Rencontre avec une figure de la contre-culture populaire.

La Cour suprême britannique a estimé que le Parlement écossais ne pouvait pas organiser une nouvelle consultation sans l’accord du gouvernement de Londres. Un jugement qui clôt le débat légal, mais relance la question politique.

Si une étude a placé Paris devant Londres en tant que première place boursière européenne, ce n’est pas dans le quartier d’affaires britannique que les conséquences du Brexit se font le plus sentir.

La capitalisation totale des sociétés cotées à Paris a dépassé pour la première fois celle de la City de Londres mardi. Les raisons du déclin britannique sont multiples, selon l’analyste financier Alexandre Baradez.

Après quarante-quatre jours à Downing Street, la Première ministre a annoncé sa démission jeudi. Un record de rapidité, qui enfonce un peu plus dans le chaos le parti conservateur, tenu de choisir un nouveau chef de gouvernement avant le 28

Mardi et mercredi, les juges de la plus haute instance judiciaire britannique vont entendre les arguments pour et contre l’organisation d’un second vote sur l’indépendance de l’Ecosse, réclamé par le gouvernement régional.

Après un long bras de fer, le gouvernement français a enfin défini jeudi les conditions d’accès à une indemnisation pour les pêcheurs dont l’activité a été durement affectée par le Brexit et qui enverront leur bateau à la casse.

Le ton commence à changer entre Européens et Britanniques, qui envisagent désormais de travailler ensemble malgré les différends qu’il leur reste à régler depuis la sortie de Londres de l’Union européenne.

Le nouveau chancelier de l’Echiquier (ministre des Finances) est un intellectuel brillant, mais avoir signé une thèse en histoire de l’économie n’est pas preuve de pragmatisme, ni de mesure.

Gel des factures énergétiques, baisses d’impôts, durcissement de minima sociaux et dérégulation ...Londres dévoile ce vendredi son panel de mesures pour relancer une croissance en berne et tenter d’atténuer l’inflation.

A une large majorité, les adhérents du parti conservateur ont choisi Liz Truss pour succéder à Boris Johnson. La future Première ministre prône un choc néolibéral face à la grave crise socioéconomique qui secoue le Royaume-Uni.

A la pandémie et aux scandales de l’ère «BoJo» a succédé un été de crises. Alors que son successeur sera désigné ce lundi, le Royaume-Uni, confronté à une inflation record, fait face à une vague de grèves et se prépare à un hiver difficile.

Le nouveau leader du Parti conservateur pourrait être connu début septembre, onze candidats sont déjà déclarés. Selon les médias britanniques, Boris Johnson, furieux d’avoir été «trahi», entend peser sur le scrutin.

Après l’annonce de la démission du Premier ministre contesté, ce jeudi, le politiste britannique Paul Hilder revient notamment sur son héritage, marqué par le Brexit.

Boris Johnson laisse derrière lui une économie sinistrée. Inflation galopante, croissance en berne, exportations vers l’UE ralenties : dix-huit mois après la sortie de l’Union, nombreux sont les indicateurs à avoir viré à l’écarlate.

Après trois ans passés à la tête du gouvernement, le Premier ministre britannique a finalement annoncé sa démission jeudi. Opportuniste talentueux et excentrique, il aura surtout marqué les esprits par sa capacité à mentir sans trembler.

La défaite des Tories dans deux législatives partielles a poussé le coprésident du Parti conservateur à démissionner. Déjà très fragilisé par le «partygate», le Premier ministre se dit néanmoins déterminé à rester au pouvoir.