CAC 40

Les places européennes et asiatiques étaient en forte baisse jeudi 3 avril au lendemain de l’annonce par Donald Trump de droits de douane prohibitifs contre la plupart de ses partenaires commerciaux. Wall Street paie un tribut très lourd.

La perspective d’une montagne de nouveaux droits de douane sur les produits entrant aux Etats-Unis fait décrocher les marchés boursiers ce lundi 31 mars, avec -1,58 % à Paris et -1,33 % à Francfort.

Les places boursières mondiales subissent toutes les effets de l’imposition des droits de douane du président américain, ce mardi 4 mars. D’après Bloomberg, les Bourses américaines ont ainsi effacé leurs gains effectués depuis son élection.

A l’ouverture des échanges sur le continent ce lundi 3 mars au matin, les actions de Dassault Aviation et Thalès flambaient de près de 15%. Idem pour le Britannique BAE Systems, l’Allemand Thyssenkrupp ou encore le Suédois Saab.

Débarqué du groupe le 1er décembre, l’ex-directeur général de Stellantis recevra une enveloppe de départ de 12 millions d’euros, a dévoilé, jeudi 27 février, le constructeur automobile dans son rapport annuel.

La mixité dans les instances dirigeantes s’est légèrement améliorée en 2024 passant de 26 à 28 % en l’espace d’un an, alors que la loi Rixain impose d’atteindre les 30 % pour 2026.

L’hôtelier coté au CAC 40 s’est félicité ce 20 février d’un bilan positif pour 2024. Une hausse significative du chiffre d’affaires, boosté par les Jeux olympiques et paralympiques de Paris et la réouverture de Notre-Dame.

Alors qu’on ne donnait pas cher des centres commerciaux face à la consommation en ligne, la marque de la multinationale Unibail-Rodamco-Westfield a annoncé, jeudi 13 février, des résultats florissants.

En France, les dirigeants d’entreprises sont moins séduits par le fond des décisions que par la rapidité et la détermination avec lesquelles agit le nouveau locataire de la Maison Blanche.

Si Nicolas Rousselet, patron du groupe du même nom, juge que l’impératif budgétaire s’impose à tous, il appelle à taxer également les géants du numérique, de Google à Netflix, et à préserver le modèle social français.

La surtaxe de l’impôt sur les très grandes sociétés suscite la bronca des grands patrons, dont certains ont agité la menace de la délocalisation. Une mesure temporaire qui marque un tournant dans la politique économique d’Emmanuel Macron.

Ce prélèvement sur les bénéfices, appelé pour le moment à ne durer qu’un an, suscite des réactions contrastées souvent liées au secteur professionnel des dirigeants d’entreprise.

Selon la lettre financière Vernimmen, les entreprises du CAC 40 ont reversé près de 100 milliards d’euros à leurs actionnaires en 2024, sous forme de rachats d’actions et de dividendes.

L’éternel conseiller des grands patrons et le permanent visiteur des gouvernants a pourtant rompu avec Vincent Bolloré et Emmanuel Macron.

Les salariés de quatre sites de production d’Essilor, géant du verre ophtalmique, débrayent depuis jeudi soir et jusqu’à samedi pour dénoncer des revalorisations salariales jugées insuffisantes. La production a dû cesser dans deux usines.

La perspective d’une absence de budget et de la chute du gouvernement est suivie attentivement par les marchés sans céder à la panique. A la hausse des taux obligataires, s’ajoute le pessimisme des ménages comme des chefs d’entreprise.

(2/2) Nicolas Puech, qui accuse aujourd’hui son ex-gérant de fortune de l'avoir volé, pourrait déposer plainte. De quoi inquiéter ceux qui auraient bénéficié de ses titres, tels Bernard Arnault et son groupe. Suite et fin de notre enquête.

(1/2) Nicolas Puech, héritier du groupe, accuse depuis un an son ex-conseiller financier de lui avoir dérobé 6 millions d’actions. Disparues depuis plus de dix ans, révèle «Libé», celles-ci réaniment le spectre de la guerre Hermès-LVMH.

Le géant pétrolier a annoncé ce jeudi 31 octobre une baisse de 39 % de ses bénéfices par rapport au trimestre précédent. Mis en cause, la moindre rentabilité du raffinage et les prix du pétrole très volatils à cause des tensions qui secouen

Le géant pétrolier français va racheter 5 % de son capital pour un montant de 8 milliards d’euros. But de la manœuvre, redistribuer encore plus d’argent à ses actionnaires.

L’entreprise de Peugeot, Citroën ou Fiat poursuit sa dégringolade et annonce ce lundi des marges et flux de trésorerie encore moins que bons que prévus. Carlos Tavares, le PDG, ne résistera pas à la situation du groupe.

Malgré une législation française obligeant les entreprises à respecter des quotas de femmes dans leurs instances dirigeantes, elles restent toujours minoritaires. Un collectif souhaite faire changer les pratiques.

Plus de 75 sponsors et mécènes ont mis la main à la poche, 1,7 millions d’euros, pour participer à l’organisation de l’événement planétaire. Avec des obligations précises.

Selon le magazine «Challenges», qui publie ce jeudi 18 juillet son classement annuel, la fortune cumulée des 500 plus riches Français dépasse pour la première fois en 2024 les 1 200 milliards d’euros.

Les marchés boursiers ont à peine bougé un indice ce lundi matin, au lendemain du second tour des élections législatives. Le CAC 40 a ouvert en toute petite baisse de 0,49%, à 7 637 points.

L’incertitude sur le résultat du scrutin fait reculer le CAC 40 et accroît le taux d’intérêt de la dette française, malgré de bons chiffres macroéconomiques.

Le CAC40 a perdu 2,66% ce vendredi et 6,23% sur la semaine. Les investisseurs sont inquiets des programmes économiques annoncés par le Rassemblement national et le Nouveau Front populaire.

L’incertitude provoquée par l’annonce d’Emmanuel Macron dimanche 9 juin a eu un impact sur les marchés boursiers, en particulier dans les secteurs d’activités pour lesquels le RN promet des virages économiques, comme celui des autoroutes.

Les dirigeants de la planète doivent taxer les plus grosses fortunes, cela permettrait de redistribuer plus de 1 000 milliards de dollars par an vers les pays à bas revenus pour lutter contre le changement climatique.

Dans un nouveau rapport, Oxfam passe au crible les rémunérations colossales des PDG du CAC40 : écarts démesurés, inégalités entre les femmes et les hommes… L’ONG réclame une loi pour encadrer les salaires.

Les plus grosses entreprises françaises ont annoncé de colossaux bénéfices pour 2023. Battant aussi des records de dividendes versés et de rachat de leurs propres actions.

Sous la menace du dérapage du déficit public, la présidente de l’Assemblée nationale a plaidé ce vendredi 22 mars pour taxer les «profits qui résultent d’une situation exceptionnelle» afin d’«augmenter les recettes de l’Etat».

Le champion français du matériel ferroviaire sort ce vendredi du sélect club boursier, trois ans après avoir avalé Bombardier. Une éviction symbolique qui montre les limites de la course à la taille encouragée par un capitalisme cannibale.

Porté par les bons résultats d’entreprises et le repli de l’inflation, l’indice phare de la Bourse de Paris a franchi ce jeudi 7 mars la barre des 8 000 points.

Le géant mondial a dégagé en 2023 un nouveau record de bénéfices, porté par des ventes mondiales en forte croissance. La montagne des dividendes qui seront reversés à ses actionnaires ne manquera pas de faire polémique en période de crise.

Alors qu’Emmanuel Macron a fait de la «souveraineté» industrielle un thème majeur, le patronat, toujours prompt à réclamer plus d'aides et moins d'impôts, semble aux abonnés absents.

Le montant des dividendes et rachats d’actions a été multiplié par quatre et demi en vingt ans, progressant près de dix fois plus vite que l’inflation.

En 2023, les plus grandes entreprises françaises ont reversé près de 100 milliards d’euros à leurs actionnaires. Et le PDG de LVMH a été élevé par Macron à la plus haute dignité de la Légion d’honneur. Pas de quoi réjouir les Français.

BP, Shell, Chevron, ExxonMobil et TotalEnergies vont distribuer plus de 100 milliards de dollars de récompenses à leurs actionnaires pour l’année 2023, dépassant le record de 2022.

Même si, au cœur des années 80, le journal a chroniqué avec attention le triomphe de l’hypercapitalisme, il n’a cessé de dénoncer les abus en tous genres du patronat.