Croissance

Dans un contexte économique délicat sur le plan national comme international, l’agence de notation Fitch a rendu vendredi 14 mars au soir son verdict sur l’état de la dette hexagonale.

Après avoir rebondi de 89 à 92 en janvier, l’indicateur mesurant le moral des ménages français poursuit sa hausse en gagnant un point supplémentaire, a annoncé l’Insee ce mercredi 26 février.

L’Insee a confirmé ses prévisions moroses pour la croissance française en 2024, dans son bulletin publié jeudi 30 janvier.

A la tête d’un exécutif minoritaire et très critiqué par la droite, qui rêve de le faire chuter, le chef socialiste du gouvernement espagnol a conclu un accord pour faire passer une vingtaine de réformes.

Plein-emploi, croissance à 3%, inflation jugulée... Le robuste bilan de Joe Biden ridiculise le «désastre» économique dépeint par Donald Trump. Et pourrait contrarier les promesses du milliardaire d’offrir un nouvel «âge d’or» à l’Amérique.

Après la Banque de France, c’est au tour de l’Institut de la statistique d’anticiper une croissance faible du PIB en début d’année prochaine. La consommation, notamment, tarde à repartir.

L’Organisation de coopération et de développement économiques revoit à la baisse sa prévision de croissance pour la France en 2025, à 0,9 % et s’inquiète du risque que ferait peser le protectionnisme sur l’économie mondiale.

L’économiste Philippe Moati plaide pour le développement d’une économie de l’usage qui pourrait, à terme, être bénéfique pour les entreprises, tout en répondant aux enjeux écologiques.

Principalement associé à l’immobilier ou aux voitures, le leasing se développe pour les équipements ménagers. Le secteur bourgeonne, même si la rentabilité reste encore un défi pour ses acteurs.

Le PIB français a augmenté de 0,4 % cet été, a annoncé ce mercredi 30 octobre l’Insee. La consommation des ménages s’est notamment accrue de 0,5 %, pour moitié en lien avec les Jeux de Paris.

Face aux problèmes structurels de l’économie, le ministre chinois des Finances a défini ce samedi quatre axes d’intervention, mais sans aucun chiffrage d’ensemble et en prévoyant d’autres mesures à venir.

Dans sa dernière note de conjoncture, l’Institut confirme que la croissance française restera limitée à 1,1 % cette année, avec un taux de chômage en légère hausse à 7,5 %.

Autofinancés et moins coûteux que les éditions précédentes, les Jeux français auront un impact économique très court et limité : pas de miracle à attendre pour la croissance et l’emploi.

Dans ses prévisions pour la fin de l’année, l’institut prévoit une hausse du PIB de 1,1 % et un taux de chômage à 7,6 % contre 7,5 % fin 2023. Un effet JO est escompté cet été.

Le chef de l’Etat poursuit sans l’ombre d’un doute sa politique économique inégalitaire en faveur des plus aisés, tout en démontant avec constance notre modèle de protection sociale. Le résultat n’est pourtant pas à la hauteur.

Selon le bilan publié ce mardi 7 mai par l’association, les entreprises privées ont perçu jusqu’à deux tiers des près de 73 milliards d’euros de fonds déjà dépensés.

Dans sa dernière livraison de prévisions économiques, l’Organisation de coopération et de développement économiques prévoit toujours une activité poussive en France cette année, avec une croissance du produit intérieur brut de 0,7 %.

Bruno Le Maire affirme ce mardi 30 avril que cette progression «traduit la solidité» de l’économie française.

Economiste en chef chez Allianz, Ludovic Subran estime que les Européens feraient mieux d’investir massivement plutôt que de s’accrocher au dogme de la rigueur.

L’exécutif a (encore) revu sa trajectoire budgétaire dans son programme de stabilité qui doit être envoyé à la Commission européenne : un déficit public révisé à 5,1% du PIB en 2024 (au lieu de 4,4%) avant un retour sous les 3% en 2027.

Le nombre de dépôts de demandes de brevets en France a augmenté de plus de 5 % en 2023 pour retrouver son niveau de 2019, a indiqué ce vendredi 9 février l’Institut national de la propriété industrielle (INPI).

D’après les premières estimations de l’Insee publiées ce mardi 30 janvier, le produit intérieur est en légère hausse en 2023, malgré trois trimestre où la croissance n’était pas au rendez-vous.

Le chef de l’Etat entame, ce jeudi 25 janvier, un séjour dans le pays avec une quinzaine d’entrepreneurs venu profiter des belles perspectives économiques indiennes. Sauf que celles-ci ne profitent qu’à une minorité d’heureux élus.

En 2023, le PIB chinois n’a progressé que de 5,2 % par rapport à 2022 tandis que sa population baissait pour la deuxième année consécutive, laissant entrevoir le début d’une crise démographique.

Avec trois ans de recul, le comité d’évaluation du plan de soutien à l’économie livre dans son rapport final un bilan plutôt positif de son déploiement, tout en pointant des effets d’aubaine et des dispositifs parfois peu efficaces.

Dans sa dernière note de conjoncture, l’institut de statistique revoit à la baisse sa prévision de croissance pour le quatrième trimestre de cette année. La France devrait toutefois échapper à la récession.

Une campagne de communication de l’Agence de la transition écologique, applaudie par le ministre Christophe Béchu, fait hurler Bercy, qui s’effraie d’une critique de la surconsommation quand la croissance est en berne.

La suspension de la cotation du mastodonte de l’immobilier Evergrande, ce jeudi 28 septembre, illustre les difficultés structurelles de l’économie chinoise qui inquiètent à l’international et mettent sous pression le pouvoir de Xi Jinping.

Contraint par des perspectives économiques en demi-teinte et une dette publique colossale, l’Etat a tranché dans le vif pour son projet de loi de finances de l’année prochaine, présenté ce mercredi 27 septembre.

Dans sa note de conjoncture du 7 septembre, l’institut tient compte d’une hausse du PIB au deuxième trimestre plus forte qu’anticipé. L’inflation demeure élevée et contracte toujours la consommation des ménages.

Le déficit des échanges de biens s’est établi à 54 milliards d’euros au premier semestre 2023, contre 89 milliards au cours du semestre précédent. Outre la baisse de l’énergie, cela résulte de l’atonie de la demande intérieure française.

La croissance du PIB de la France a atteint 0,5% au deuxième trimestre, bien plus que prévu, tirée par les exportations tandis que la consommation des ménages reste en berne, plombée par l’inflation.

Pour la première fois, la dette publique de la France a dépassé le seuil symbolique des 3 000 milliards d’euros au premier trimestre, remontant à 112,5% du PIB.

Le renchérissement des produits alimentaires a été moins rapide qu’au mois de mars: leurs prix ont progressé de 14,9% sur un an après avoir tutoyé les 16% le mois précédent, selon l’Insee.

Annoncé par le gouvernement pour l’été, le pic d’inflation ne pourrait être atteint qu’au début de 2024 selon l‘Observatoire français des conjonctures économiques, alors que le salaire réel décrocherait de 1,8% cette année.

Le déficit public s’est réduit à 4,7 % du PIB en 2022 marquant un recul par rapport à 2021.

Inflation, salaires, taux d’intérêt, déficit, fiscalité, inégalités, réforme des retraites… L’influent ­ex-chef économiste du FMI analyse pour «Libé» les grandes questions du moment.

Le PIB français a crû de 2,6 % l’année dernière selon l’Insee. Des chiffres qui auraient pu être bien supérieurs si la consommation des ménages n’avait pas chuté en fin d’année en raison de la forte inflation.

Epidémie de Covid incontrôlée à la veille des vacances, secteur immobilier en crise, démographie négative, croissance économique en berne, climat social explosif… Le nouvel an lunaire ouvre une période difficile pour le géant asiatique.

Baisse de la croissance, inflation au trot, inégalités et chômage en hausse : l’année à venir se présente sous de peu favorables auspices, selon les prévisions des économistes.