Eric Dupond-Moretti

Après l’assaut meurtrier d’un convoi survenu ce mardi 14 mai au péage d’Incarville dans l’Eure, «Libération» fait le point sur les précédentes attaques ayant visé des agents escortant des détenus.

Au cours des six mois d’auditions, magistrats, policiers, gendarmes, élus, et ministres ont prévenu que la corruption permettait au trafic de prospérer. La commission propose finalement de se baser sur l’agence antidrogue américaine.

Eric Dupond-Moretti a dévoilé son plan de lutte contre la criminalité organisée. Judith Allenbach, membre du syndicat de la magistrature, salue une réforme qui va dans le bon sens mais appelle à ne pas crier victoire trop vite.

Les bons avec les bons, les nuls avec les nuls mais rangés, cadrés, groupés. Immersion à Nice avec le Premier ministre, accompagné par Dupond-Moretti, au lycée du Parc impérial.

Dans la Tribune Dimanche, le garde des Sceaux, Eric Dupond-Moretti, présente ce dimanche 28 avril un plan choc pour lutter contre le crime organisé.

Le ministre de la Justice était auditionné ce mardi 9 avril par la commission d’enquête sénatoriale sur le trafic de stupéfiants, alors que les critiques contre les opérations «Place nette XXL» du gouvernement se multiplient.

Après le lancement par Emmanuel Macron des opérations «Place nette XXL», les ministres de la Justice et de l’Intérieur sont auditionnés devant une commission d’enquête pour répondre aux critiques ciblant cette campagne de com controversée.

Déjà épinglée à plusieurs reprises pour ses conditions de détention, la France bat depuis six mois des records historiques de surpopulation dans ses prisons. Ce lundi 8 avril, plusieurs barreaux demandent au ministre de la Justice d’agir.

L’enquête concerne des faits qui auraient été commis entre 2008 et 2022. Le ministère public estime posséder suffisamment d’éléments pour déférer la magistrate Hélène Gerhards pour 11 crimes et délits supposés.

Pendant que le président Macron gonfle ses biceps sécuritaires, autant se souvenir que légaliser le cannabis permettrait de mieux assurer la protection des populations.

Résolument opposé à toute légalisation du cannabis, le ministre de l’Intérieur a évoqué jeudi soir l’idée de réaliser des tests directement sur les lieux de consommation.

Rejoignant les ministres de l’Intérieur, de la Justice et la secrétaire d’Etat chargée de la Ville ce mardi 19 mars, le Président appuie le lancement des vastes opérations «place nette» dans le cadre de la «nouvelle stratégie nationale».

Le chef de l’Etat a rejoint sur place Gérald Darmanin, Eric Dupond-Moretti et Sabrina Agresti-Roubache à l’occasion d’une «opération Place nette XXL», selon les termes de l’Elysée.

Le chef de l’Etat a pris part, ce vendredi 8 mars, au scellement du texte voté lundi. Une cérémonie pour la première fois ouverte au public.

Le texte constitutionnel, mentionnant l’article sur la « liberté garantie à la femme d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse », sera scellé lors d’une cérémonie publique au ministère de la Justice ce vendredi.

Le député des Français de l’étranger est descendu de l’hémicycle pour s’approcher du ministre de la Justice. Avant que les huissiers ne le repoussent. Mais pas de polémique dans cette saynète, explique l’entourage du garde des Sceaux.

L’examen d’une proposition de loi contre les discriminations a entraîné un violent règlement de comptes entre des élus de la majorité, La France insoumise et le RN. Le ministre de la Justice s’est également jeté dans la bataille.

En relaxant le garde des Sceaux, jugé pour prise illégale d’intérêts, parce qu’il n’avait pas la «conscience suffisante» d’enfreindre la loi, la Cour de justice de la République crée un précédent qui sera utilisée dans bien des cas.

Malgré des réticences fortes, la Commission n’a pas fait barrage à ce projet de révision constitutionnelle. L’adoption ou non de ce texte reste toutefois toujours incertaine.

L’affaire Palmade et les prises de parole du chef Yannick Alléno ont permis la création du délit d’homicide routier qui remplace celui d’homicide involontaire. Mais il s’agit plus d’un arrangement sémantique que d’une révolution juridique.

Lors d’un vote solennel ce mardi 30 janvier, la Chambre basse a confirmé le premier feu vert donné mercredi soir par les députés, au terme de six heures de débats. Le texte doit être examiné fin février au Sénat.

Mais pourquoi les présidents de la Ve République s’obstinent-ils à dégainer «l’arme» du remaniement ?

Réarmer ? Régénérer ? Pour que «la France reste la France» ? Derrière les mots du gouvernement actuel, il y a hélas une logique. On exalte la «communauté» nationale pour mener une politique de classe, hostile à plus de 90 % de la population

Prévention des conflits d’intérêt : dans le nouveau gouvernement Attal, les même poids lourds à protéger

Sans surprise, les deux ministres régaliens ont été maintenus à leur poste jeudi. Le locataire de Beauvau devra accepter son lien de subordination avec le nouveau Premier ministre, Gabriel Attal.

Ce recensement, habituellement publié par les services statistiques du ministère de l’Intérieur entre fin août et début septembre, et sa publication hâtive sont contestés par certains décomptes associatifs.

Le procureur général de la Cour de cassation, Rémy Heitz, a annoncé ce lundi 4 décembre qu’il ne formerait pas de pourvoi contre la relaxe du garde des Sceaux, estimant qu’il serait compliqué de «remettre en place un tel procès».

Au terme de trois ans de procédure, la CJR a relaxé mercredi le ministre de la Justice du délit de «prise illégale d’intérêts». Désireux de passer à autre chose, les magistrats sentent malgré tout que la séquence laissera des traces.

Née dans le sillage de l’affaire Cahuzac, la HATVP s’est imposée comme une institution qui contrôle le patrimoine des élus et leurs éventuels conflits d’intérêt. Elle promeut une transparence inédite, dont certains politiques s’alarment.

Par sa composition, l'instance semble être une survivance anachronique de la Ve République, ce qui participe de la défiance envers les politiques. Faisons le pari que sa suppression sera encore au programme des candidats en 2027.

Plusieurs élus d’opposition critiquent la relaxe du garde des Sceaux et dénoncent l’impartialité de la Cour de justice de la République, que Macron cherche à supprimer depuis 2018.

L’instance, composée en grande partie de parlementaires, a innocenté ce mercredi 29 novembre le garde des Sceaux, qui était accusé de prise illégale d’intérêts.

Le procès d’Eric Dupond-Moretti pour «prises illégales d’intérêts» s’est déroulé devant la CJR, composée à la fois de magistrats professionnels et de parlementaires, qui fait l’objet de vives critiques, depuis la relaxe du ministre.

A l’instar de la décision relaxant Eric Dupond-Moretti, les ministres ont globalement intérêt à relever de cette juridiction d’exception plutôt que de la justice ordinaire, nettement plus sévère avec leurs directeurs de cabinet.

Poursuivi pour «prises illégales d’intérêts», le garde des Sceaux, à qui était reproché le déclenchement d’enquêtes administratives contre quatre magistrats avec lesquels il avait eu un contentieux, échappe à la condamnation.

Le procès du garde des Sceaux pour «prise illégale d’intérêts» entre dans une phase critique avec les réquisitions du parquet ce mercredi 15 novembre. L’occasion de revenir sur l’ensemble du procès suivi par «Libération».

Après un procès inédit, la Cour de justice de la République doit rendre sa décision concernant le garde des Sceaux ce mercredi 29 novembre vers 15 heures. «Libé» revient sur cet étrange objet judiciaire.

Le gouvernement a vivement réagi ce mercredi 22 novembre aux tentatives de récupération, par la droite et l’extrême droite, du meurtre samedi soir d’un adolescent de 16 ans dans la Drôme.

Le Conseil constitutionnel estime ce jeudi 16 novembre que l’activation à distance par des enquêteurs de téléphones portables pour écouter et filmer des personnes à leur insu porte «atteinte» au «respect de la vie privée».

Les avocats du ministre de la Justice ont défendu pendant quatre heures ce jeudi 16 novembre ont écarté toute vengeance du garde des Sceaux envers des magistrats et dénoncé une «instrumentalisation de la justice».