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Après une première volée d’images en juillet dernier, le télescope Euclid nous a gratifié ce jeudi de nouveaux clichés saisissants, mais surtout utilisables au sein du milieu scientifique.

Thales Alenia Space et The Exploration Company ont été choisies par l’Agence spatiale européenne pour mettre au point un véhicule capable de ravitailler l’ISS dès 2028 et de futures stations spatiales privées.

L’Union et l’Agence spatiale discutent cette semaine de l’avenir de l’Europe... côté espace.

A la suite de l’arrêt de toute collaboration avec Moscou, l’ESA finalise un accord avec son homologue américaine pour relancer le programme qui doit chercher des traces de vie martienne. Son lancement vers Mars est prévu pour 2028.

Le nouveau lanceur a été mis à la verticale pour la première fois sur son pas de tir à Kourou, mercredi. Cette fusée, qui doit redonner à l’Europe son accès à l’espace avec un premier décollage en juillet, concentre tous les espoirs.

A l’occasion de son passage en Guyane, Emmanuel Macron s’est rendu au centre spatial de Kourou, et confirmé un vol inaugural du nouveau lanceur européen de satellite au début de l’été.

Le satellite européen va rentrer dans l’atmosphère terrestre ce mercredi après-midi. Il se consumera en grande partie avant de tomber au sol, et selon les experts, il est très improbable que les débris résiduels touchent une zone habitée.

Lancé en 1995, le satellite ERS-2 doit revenir sur Terre la semaine prochaine, sans que l’on sache où et quand il traversera l’atmosphère.

Prévu pour la fin 2024, le deuxième vol d’Ariane 6 sera le premier vol dit commercial, et lancera le satellite militaire français CSO-3. A venir, un agenda chargé notamment avec Amazon.

Avant la Guyane où seront assemblées les autres pièces de la fusée européenne dont le vol inaugural prévu cet été marquera un tournant crucial pour l’Europe spatiale, visite dans l’usine d’ArianeGroup, où a été monté

L’Agence spatiale européenne a donné son feu vert à Lisa, un projet pour mesurer les ondes gravitationnelles directement depuis l’espace, et EnVision, une sonde qui explorera la planète rocheuse la plus méconnue de notre système solaire.

Ce jeudi 25 janvier, les agences spatiales américaines (Nasa) et européenne (ESA) ont révélé avoir observé la plus petite planète connue en dehors du système solaire à contenir de l’eau.

Le fidèle lanceur a entamé mercredi 5 juillet son ultime vol, après un report pour météo défavorable. Le retrait de la fusée, bientôt remplacée par «Ariane 6», laissera un trou béant dans le cœur et le calendrier de l’Europe spatiale.

Alors qu’Ariane 5 doit effectuer so dernier vol dans la nuit du mercredi 5 au jeudi 6 juillet, Ariane 6 connaîtra son vol inaugural en 2024. A l’occasion d’essais «statiques» à Kourou, elle a été dévoilée pour la première fois au public.

L’entreprise Leonardo a conçu un «imageur d’éclairs» pour équiper un satellite de troisième génération de l’ESA, afin d’observer l’activité orageuse depuis l’espace, et de mieux prévénir ces phénomènes et leurs répercussions.

L’appareil de l’Agence spatiale européenne, sorte de «Google Earth grand public», décollera de Floride ce samedi 1er juillet à 17 h 11, heure de Paris, pour parcourir l'univers et tenter de lever le voile sur la matière noire.

L’arrivée de deux échantillons de poussière lunaire en France a été annoncée le 15 juin par le président du Muséum national d’histoire naturelle.

Face aux réductions de vols causées par la guerre en Ukraine, les échecs ou les retards de certaines fusées, le Centre spatial guyanais a trouvé un accord avec les syndicats vendredi 16 juin pour réduire la masse salariale.

L’engin spatial européen a terminé de déplier les différentes antennes qui lui permettront d’étudier Jupiter et ses lunes glacées dans huit ans. L’une d'elles, un radar italien nommé «Rime», avait causé quelques frayeurs en restant coincée.

La mission de l’Agence spatiale européenne, qui a réussi son décollage ce vendredi, part en quête de traces de vie extraterrestre sur Callisto, Ganymède et Europe, avant d’être imitée par une très grosse mission de la Nasa en 2024.

Un groupe d’experts recommande à l’Agence spatiale européenne de mettre les bouchées doubles pour se faire une place de leader dans l’exploration spatiale ces prochaines années, au même titre que les Etats-Unis et la Chine.

Un morceau du météoroïde observé dans le nord de la France a été retrouvé mercredi en Seine-Maritime par un groupe de chercheurs et de passionnés, une découverte permise par un projet de sciences participatives.

Brillante et secrète, l’astrophysicienne britannique, sélectionnée par l’Agence spatiale européenne dans sa nouvelle promotion de futurs astronautes, cultive sa simplicité en attendant d’entrer peut-être dans l’histoire.

Eumetsat, l’organisme gérant les satellites météo européens, a inauguré mardi les satellites météo MTG. Les orages et autres événements sévères et dangereux, comme les tempêtes, pourront être prédits plus rapidement.

Décryptage du choix très actuel de Sophie Adenot comme astronaute franco-européenne, tranquillement lancée à l’assaut des anges du ciel.

Après un an et demi d’un rude processus de sélection, l’ESA a présenté ses dix-sept nouveaux astronautes qui auront peut-être la chance de marcher bientôt sur la Lune ou sur Mars. La Française Sophie Adenot a notamment été retenue.

Réunis à Paris, les 22 pays membres de l’Agence spatiale européenne ont voté ce mercredi une souscription de presque 17 milliards d’euros pour les trois ans à venir, dont une contribution française ambitieuse de 3,2 milliards.

Avec la guerre en Ukraine et les tensions internationales qui s’en découlent, l’avenir de l’ISS était déjà compromis. Son sort semble désormais scellé après l’annonce ce mardi du Kremlin de se retirer de la coopération.

Connu pour ses tirades belliqueuses, le patron de l’agence spatiale russe Roscosmos a été démis de ses fonctions vendredi. La coopération russo-occidentale se poursuit dans la Station spatiale internationale.

Vega-C, évolution musclée de la fusée italienne Vega, a effectué mercredi son lancement inaugural depuis Kourou. Utilisant des éléments communs avec sa grande sœur Ariane 6, elle devrait permettre à l’Europe d’être plus compétitive dans un

Une fois n’est pas coutume, la communauté internationale a marché main dans la main pour mener à bien ce projet spatial de grande ampleur. A la clef, de nouvelles connaissances sur les origines de l’Univers.

Aboutissement de trente ans de coopération internationale, le plus grand et le plus puissant télescope jamais envoyé dans l’espace doit être lancé depuis Kourou ce samedi. Avec l’espoir de découvertes, notamment sur les premières galaxies.

La forme des galaxies, l’origine des planètes, de la lumière voire même de la vie… Le nouveau joyau de la Nasa devrait fournir une multitude de réponses que son prédécesseur, Hubble, n’a pas les capacités d’apporter.

Revenu sur Terre il y a six mois, l'astronaute a accordé un peu de son temps à «Libération» pour évoquer les menaces qui planent sur la coopération spatiale internationale et son avenir personnel.

Aubaine pour Arianespace et sa fusée Ariane 6, la constellation de satellites Kuiper devrait donner un coup de fouet à l’industrie spatiale dans son ensemble.

La fusée qui devra porter les missions Artemis et ramener les astronautes américains sur la Lune d’ici 2025 va être installée sur son pas de tir ce jeudi. Une répétition générale est organisée avant le vol inaugural, à vide, prévu en mai.

En marge du conflit, l’avenir de la station spatiale internationale et celui de nombreux projets spatiaux est en suspens. Chez les Russes, le mot d'ordre ne semble plus être la coopération.

Le nouveau voyageur de la Nasa et l’ESA, qui décolle le 25 décembre de Kourou, dispose de quatre outils spécialisés dans l’infrarouge pour observer plus loin dans le temps et l’espace qu’Hubble.

En orbite depuis trente ans, le télescope spatial de la Nasa qui a permis d’innombrables découvertes n’est pas increvable pour autant. Ses instruments vieillissent et les pannes se font fréquentes… Mais il reste vaillant pour l’instant.

Le successeur de Hubble, qui décolle samedi de Kourou, devrait permettre de remarquables avancées dans l’étude de l’univers ancien. Dommage qu’il porte le nom d’un zélateur maccarthyste.