Etat islamique

Abdelaziz Fahd, acquis aux thèses de l’organisation Etat islamique, doit déjà être jugé devant la cour d’assises spéciale de Paris à l’été 2025, aux côtés de deux autres suspects, Michaël Chiolo et Nabil Ganned.

Considéré comme «l’adjoint du Calife» de l’EI, Abdallah Makki Muslih al-Roufayi a été tué par les forces de sécurité irakiennes, a annoncé vendredi 14 mars le Premier ministre, Mohamed Chia al-Soudani.

Kaïs Al Abdallah, un Syrien de 41 ans, identifié comme le numéro 2 du groupe terroriste à Raqqa et suspecté d’être lié à l’enlèvement de Pierre Torres et Nicolas Hénin, a été interrogé au cours de la semaine par la cour d’assises spéciale d

Devant la cour d’assises spéciale de Paris, ce vendredi 28 février, les ex-otages français ont reconnu avec certitude l’accusé comme un de leurs bourreaux en Syrie.

Ce jeudi 27 février, à la cour d’assises spécialement composée de Paris, l’accusé a reconnu avoir combattu au sein de l’EI tout en réfutant pied à pied son rôle dans la détention des otages français et occidentaux en Syrie, en 2013.

Le photoreporter de 33 ans, partie civile dans le procès des geôliers de l’Etat islamique, est retourné en Syrie pour documenter la bureaucratie infernale des prisons de Bachar al-Assad.

Devant la cour d’assises spéciale de Paris, le journaliste a raconté ce lundi 24 février les conditions atroces de sa captivité en Syrie, entre 2013 et 2014. Et a rendu hommage à ses anciens compagnons disparus.

Le photographe séquestré par l’organisation terroriste durant onze mois a livré un récit pudique et impressionnant de sa détention émaillée de sévices devant la cour d’assises spéciale de Paris.

L’essentiel de l’actualité de ce jour.

Le Français âgé de 40 ans est actuellement détenu par des kurdes dans une prison syrienne. La décision de la cour administrative d'appel de Paris concernant son rapatriement devrait être rendue dans les prochaines semaines.

Entre retrait russe, incertitudes américaines, appétit turc et ambitions saoudiennes, la reconfiguration en cours dans le nord-est syrien est un casse-tête. Une bataille cruciale qui déterminera le futur de la région.

Depuis les attentats en France il y a dix ans, on sait que les terroristes veulent polariser les sociétés occidentales. Les attaques racistes de la droite radicale nourrissent la cause jihadiste, selon le député insoumis Rodrigo Arenas.

Lors d’une conférence de presse à Istanbul ce vendredi, le chef de la diplomatie turque a épinglé la gestion par Paris des membres français du groupe Etat islamique emprisonnés en Syrie, sur fond de tensions autour de la question kurde.

Le FBI a fait savoir dimanche 5 janvier au soir que Shamsud-Din Jabbar, ex-militaire soupçonné d’avoir tué 14 personnes au volant d’une voiture, avait filmé les rues du quartier français de la ville de Louisiane.

Le recours à un véhicule pour perpétrer un attentat, comme celui qui a ensanglanté La Nouvelle-Orléans ce mercredi 1er janvier, est de plus en plus courant.

Un pick-up a foncé sur la foule dans la nuit de mardi à mercredi à La Nouvelle-Orléans, tuant au moins quinze personnes et en blessant une trentaine. Un drapeau de Daech a été trouvé dans le véhicule.

Le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, a annoncé que la France avait «deux objectifs militaires de Daech dans le centre de la Syrie». La dernière frappe française sur l’EI datait de septembre 2022.

La «prison à ciel ouvert» dans le nord-est du pays, où vivent enfermées près de 40 000 personnes accusées d’être affiliées à Daech, concentre les inquiétudes depuis l’arrivée au pouvoir des islamistes de HTS.

Au terme de quatorze ans de guerre, le camp situé dans la banlieue de Damas est ravagé. Seuls quelques milliers d’habitants vivent parmi les ruines sans aucune aide, contre plus de 150 000 en 2011.

Dans l’ancienne capitale de l’Etat islamique, passée depuis 2017 sous le contrôle des forces kurdes, l’annonce, jeudi 12 décembre, que le drapeau de la révolution sera hissé sur les bâtiments publics a été accueillie dans la liesse.

Khalil Ur-Rahman Haqqani, ministre des réfugiés a été tué avec «d’autres collègues» par un kamikaze dans son ministère. Son frère avait fondé Haqqani, un puissant réseau accusé d’avoir commis des attentats ultraviolents.

La fin de la dictature d’Assad ouvre une période d’incertitudes, laissant craindre une possible résurgence terroriste permise par l’arrivée au pouvoir du HTS à Damas.

Le pays, où la guerre civile a été relancée le 27 novembre, se divise en quatre blocs principaux, contrôlés par les forces loyalistes, les islamistes d’Hayat Tahrir al-Sham, les combattants kurdes et les milices proturques.

Dirigée par Abou Mohammed al-Joulani, ancien d’Al-Qaïda et de l’Etat islamique, l’entité gouverne Idlib. Celui-ci a montré ces dernières années des signes d’ouverture, notamment en direction des minorités et des femmes. Jusqu’à quel point ?

Mareike Engelhardt déroule l’histoire de deux Françaises parties en Syrie se marier avec un membre de l’Etat islamique. Mais à force de se méfier du voyeurisme, elle reste en surface.

La cour d’assises spéciale de Paris s’est penchée sur le parcours de l’assassin du professeur. Installé en France avec sa famille en 2008, le jeune Tchétchène, abattu par la police, s’était rapidement radicalisé avant de passer à l'acte.

Arrêté mardi en Haute-Garonne, l’homme de 22 ans a été mis en examen samedi 12 octobre à Paris puis écroué, soupçonné d’avoir «fomenté» un «projet d’action violente» dans un stade de football ou un centre commercial.

Benyamin Nétanyahou et son clan sont lancés dans une fuite en avant reposant sur l’avènement d’un miracle, qui s’inscrit dans une histoire renouvelée des guerres de religions.

Un adolescent de 17 ans a été interpellé et déféré pour menaces de mort et apologie de terrorisme, a annoncé vendredi 13 septembre le parquet de Nantes. Un drapeau de l’Etat islamique a été retrouvé dans sa chambre.

Olivier Christen, procureur antiterroriste, constate que les enfants des Français partis soutenir l’Etat islamique en Syrie et rapatriés dans l’Hexagone s’intègrent et ne représentent pas de risque.

Le Commandement américain a rappelé dans la nuit de vendredi à samedi 31 août que l’EI, malgré la chute de son «califat» autoproclamé fin 2017, «reste une menace pour la région, nos alliés ainsi que pour notre territoire national».

Berlin a annoncé ce jeudi 29 août un durcissement des lois sur le port d’armes blanches et sur les prestations pour certains demandeurs d’asile, en réaction à l’attentat meurtrier perpétré la semaine dernière à Solingen.

Le suspect de l’attaque au couteau qui a fait trois morts vendredi s’est rendu à la police. La revendication par l’Etat islamique pourrait profiter dès dimanche prochain au parti anti-immigration AfD à l’occasion de trois élections locales.

Vendredi, un homme s’en est pris au hasard à des personnes qui assistaient à une fête à Solingen, causant trois morts et huit blessés. Quelques heures après une revendication par l’Etat islamique, un Syrien de 26 ans s'est rendu dimanche.

Depuis la chute du califat autoproclamé, des dizaines de milliers de membres présumés de l’organisation jihadiste et leurs familles croupissent toujours dans des camps et des centres de détention. Daech s’y fortifie en silence.

Dix ans après sa prise par les jihadistes, la ville tente de se tourner vers le futur, non sans difficulté. Parmi les principaux défis, la délicate cohabitation entre les forces kurdes et la population arabe.

Les faits interviennent près de trois mois après l’attentat contre une salle de concert à Moscou. Une filiale de l’EI avait revendiqué cette attaque qui avait fait 122 morts.

Le directeur du FSB, les services russes de sécurité, a attribué ce vendredi 24 mai à l’organisation jihadiste la coordination de l’attentat qui a fait au moins 144 morts le 22 mars. Tout en continuant à accuser aussi Kyiv.

Suspendu par la justice dès sa publication en octobre, l’arrêté d’expulsion de la jeune femme de 25 ans emmenée en Syrie par sa mère radicalisée il y a dix ans a été annulé, a-t-on appris ce mardi 7 mai.

Dans le documentaire «Fils de jihadistes : l’impossible retour ?», diffusé jeudi 11 avril sur France 2, quatre jeunes détenus d’une prison du nord-est syrien racontent leur parcours et leur vie depuis la chute du «califat» de Daech.