Kim Jong-un

Le très probable déploiement de plusieurs milliers de soldats nord-coréens en Russie et sur le front ukrainien contraint Séoul à envisager la livraison directe d’armes à Kyiv et l’envoi de personnels.

Pyongyang a fait détruire ce mardi 15 octobre des passages routiers hautement stratégiques reliant les deux pays, quelques jours après avoir annoncé vouloir couper «définitivement» les axes routiers et ferroviaires.

En primant l’organisation japonaise contre les armes atomiques Nihon Hidankyo, le comité norvégien souligne le péril grandissant des bombes atomiques au moment où les menaces se renforcent et les arsenaux se modernisent.

Le dirigeant nord-coréen a annoncé qu’il allait muscler les capacités atomiques de son pays. Le renforcement de son arsenal s’accélère depuis deux ans, au moment où Américains et Sud-coréens se rapprochent.

Après plus de quatre ans de fermeture, le pays pourra à nouveau accueillir des touristes d’ici la fin de l’année. Cependant, le nombre de visiteurs prévu n’est pas aussi élevé que la période pré-Covid.

Dans un rapport publié le 16 juillet, le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme dénonce un système de travail forcé violent et profondément institutionnalisé. Près de 200 victimes et témoins ont été interrogés par l’ONU.

L’envoi, depuis fin mai, par la Corée du Nord de ballons gonflables remobilise les associations de transfuges au sud dans leurs propagande anti-Pyongyang.

Vladimir Poutine et son homologue nord-coréen Kim Jong-un, fervent soutien à sa guerre contre l’Ukraine, ont signé un accord d’assistance mutuelle en cas d’«agression» à l’issue d’une visite de deux jours du président russe à Pyongyang.

Vladimir Poutine a entamé mardi 18 juin une visite de deux jours à Pyongyang, sur fond de rapprochement militaire entre la Russie et la Corée du Nord.

Alors que Vladimir Poutine doit entamer «dans les prochains jours» une visite à Pyongyang, Kim Jong-un multiplie les marques de soutien à cet allié qui, en échange de ses obus et missiles utilisés en Ukraine, lui fournit pétrole et technolo

La suspension d’un pacte militaire entre les soeurs ennemies est le nouvel épisode qui témoigne d’une dégradation continue de leurs relations.

Vers une première visite officielle du Japon en Corée du Nord depuis vingt ans ? Ce serait la volonté du dirigeant nippon, selon la sœur de Kim Jong Un, Kim Yo Jong, dans un communiqué publié par l’agence de presse officielle KCNA.

Une nouvelle enquête d’experts en armement montre que la présence des missiles nord-coréens en Ukraine est un contournement des sanctions de l’ONU et accroît les risques de prolifération.

Outre des cargaisons d’armes et de munitions, des spécialistes avancent que Pyongyang a bien livré à la Russie des missiles qui ont frappé des cibles ukrainiennes, ravivant les craintes de prolifération.

Cinq ans après la fin des discussions avortées avec l’administration Trump, Kim Jong-un a cultivé sa relation avec Xi Jinping, intensifié ses échanges avec Vladimir Poutine et perfectionné son arsenal balistique et nucléaire.

Après des mois d’escalade, les relations intercoréennes se dégradent encore. Alors que Kim Jong-un a désigné le Sud de «pays le plus hostile», Séoul promet une riposte «au centuple» aux provocations nord-coréennes.

Pyongyang a tiré environ 60 obus près de l’île sud-coréenne de Yeonpyeong a annoncé ce samedi 6 janvier l’armée sud-coréenne.

Proférant de nouvelles menaces de frappes nucléaires contre Séoul, le dirigeant nord-coréen a également attaqué les Etats-Unis au terme d’une réunion de cinq jours du comité central du Parti des travailleurs de Corée.

Pyongyang a lancé un missile balistique intercontinental au moment où l’un de ses dirigeants rencontrait des responsables chinois à Pékin. Un rapprochement qui s’inscrit dans une surenchère des tensions en Asie.

Motivées par le conflit qui les divise, les deux Corées intensifient leur conquête spatiale. Une dizaine de jours après le Nord, c’est au tour de la Corée du Sud d’essayer, ce vendredi, de mettre sur orbite son premier satellite espion.

Le président russe a proposé à son invité d’envoyer un cosmonaute nord-coréen dans l’espace, Mais sur le fond, rien n’a été communiqué concernant un éventuel accord pour des livraisons de matériel militaire nord-coréen à la Russie.

Les dirigeants nord-coréen et russe se sont retrouvés au cosmodrome de Vostochny pour afficher leur coopération alors que la Russie peine dans sa guerre en Ukraine et que la Corée tente de moderniser son arsenal militaire.

Selon Washington, la rencontre pourrait déboucher sur un accord de vente d’armes de la Corée du Nord à la Russie pour soutenir l’offensive russe en Ukraine.

En visite en Russie, le chef d’Etat de la Corée du nord s’est déplacé à bord d’un train luxueux et ultra-sécurisé, perpétuant la tradition lancée par son grand-père Kim Il-sung.

C’est la première visite à l’étranger du dirigeant nord-coréen depuis l’épidémie de Covid-19. Un sommet avec Vladimir Poutine doit se tenir dans les prochains jours quelque part dans l’Extrême-Orient russe.

La Maison Blanche est persuadée que les deux dirigeants se rencontreront à Vladivostok dans les prochains jours, en marge du Forum économique oriental. La rencontre n’est pas confirmée par Moscou, qui cherche à se rapprocher de Pyongyang.

Les discussions entre Moscou et Pyongyang devraient se poursuivre avec «un échange diplomatique au plus haut niveau», met en garde le Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, dans un courrier mis au jour ce 5 septembre.

La fuite du jeune militaire américain, passé volontairement en Corée du Nord le 18 juillet, rappelle l’importance symbolique de la zone démilitarisée et souligne la difficulté des négociations pour obtenir la libération des prisonniers.

Après le tir d’un missile balistique, mercredi 12 juillet, zoom sur les capacités de l’arsenal du régime de Pyongyang.

Le nouveau tir d’un missile balistique par Pyongyang mercredi matin s’inscrit dans une surenchère de tests et de tirs qui démontre une maîtrise croissante des technologies pour renforcer un arsenal vu comme l’assurance-vie du régime.

Le lancement annoncé d’un satellite espion par Pyongyang s’inscrit dans une surenchère d’essais et de tests terrestres, aériens et sous-marins, rendus possibles avec le soutien de la Chine et de la Russie.

Le juge des référés du tribunal administratif a suspendu la mise à la retraite de Benoît Quennedey, administrateur du Sénat soupçonné d’espionnage au profit de la Corée du Nord. L'homme avait été mis en examen en 2018 pour "trahison".

Lors d’une visite à l’agence spatiale nord-coréenne, le dirigeant nord-coréen Kim Jong-Un a mis la pression pour envoyer en orbite son premier satellite espion de reconnaissance militaire.

Face au manque d’informations et à l’absence de sources sur un pays verrouillé et isolé depuis le début de la pandémie, un chercheur sud-coréen s’est mis à fouiller dans les déchets du régime reclus rejetés sur les plages de l'Etat voisin.

La propagande a publié plusieurs images de la fille du leader suprême accompagnant son père sur des sites de lancement de missile. Un symbole de stabilité plus que l’adoubement d’une potentielle héritière.

Pyongyang a lancé dans la nuit de vendredi à samedi trois énièmes projectiles vers le Sud, symbolisant l’hostilité de ces derniers mois avec Séoul et Washington.

Après une année record en nombre de missiles tirés, le dictateur s’est félicité ce lundi de la puissance de la Corée du Nord à l’ouverture de la réunion plénière de son Parti des travailleurs.

Accompagné de sa fille, le dirigeant nord-coréen a supervisé vendredi le lancement de son dernier missile balistique intercontinental. De quoi motiver les Etats-Unis à redéployer le bombardier stratégique B-1B dans la péninsule coréenne.

Malgré son économie exsangue, son isolation quasi-totale, la Corée du Nord a pourtant une force de frappe nucléaire incontestable. Ce que le régime des Kim s’attache habilement à rappeler pour peser sur la scène internationale.

Selon le chercheur Théo Clément, la salve de missiles et de tirs d’artillerie du régime de Pyongyang mercredi est une provocation brutale qui «reste très maîtrisée» et pourrait préfigurer un nouvel essai nucléaire.