Libye

Autour d’une piscine en Tunisie, une tragicomédie de corps défaits par la guerre en Libye et refaits par la chirurgie esthétique.

Plus haut, plus long, plus fou (5/5) Aujourd’hui, l’infrastructure géante déployée par le despote libyen pour pomper l’eau de nappes phréatiques fossiles.

Des offensives meurtrières de forces proches du Premier ministre pour affaiblir des groupes rivaux ont secoué la capitale depuis dix jours. Une tentative pour asseoir l’autorité de Dbeibah qui risque de rebattre les cartes du pouvoir.

Mardi au tribunal de Paris se sont achevées les plaidoiries dans le cadre de l’affaire du financement de la présidentielle de 2007 en faveur de l’ancien président. Dans une ambiance tendue, ses avocats ont réclamé sa relaxe.

Un village ravagé par une guerre d’egos dans la Libye de Kadhafi : le second roman du Prix international de la fiction arabe 2022 est sous forme de fable.

Les avocats de l’homme d’affaires suspecté d’être un des vecteurs du financement secret ordonné par le régime Kadhafi au profit du clan sarkozyste ont plaidé jeudi la relaxe, dépeignant ce mystérieux personnage en serviteur de l'Etat.

Une délégation de Human Rights Watch doit rencontrer ldes représentants de l’agence européenne pour exiger des actions concrètes face aux naufrages meurtriers en Méditerranée, qui ont déjà coûté la vie à plus de 32 000 personnes depuis 2014

Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions : chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.

Trois procureurs se succèdent pour énumérer les charges qui pèsent selon eux contre les douze prévenus de l’audience fleuve, dont l’ancien Président, décrit par les magistrats comme «un homme porté par une ambition personnelle dévorante».

Au tribunal judiciaire de Paris, le procès du financement éventuel de la campagne de Sarkozy en 2007 par le régime de Kadhafi s’intéresse à la vente de douze avions à la compagnie aérienne de Tripoli.

La montre de luxe, donnée par Alexandre Djouhri en 2006, s’est retrouvée au cœur des débats dans le tribunal ce jeudi. Les magistrats soupçonnent l’homme d’affaires d’avoir testé la «recevabilité à la corruption» du sarkozyste.

Il a conquis le chef d’Etat, comme ses prédécesseurs, à force d’entregent et d’audaces diplomatiques, au grand dam du Quai d’Orsay. Bernard-Henri Lévy continue d’œuvrer en coulisses, avec une influence très sensible en géopolitique.

Devant le tribunal correctionnel, l’ex-chef d’Etat s’est heurté, ce lundi 10 février, aux indices de millions d’euros issus du régime libyen sur le compte de l’intermédiaire Ziad Takieddine, qui auraient alimenté sa campagne de 2007.

Les corps ont été retrouvés après une opération des forces de sécurité dans ce centre tenu par un réseau de trafiquants d’êtres humains, où étaient enfermés 76 migrants originaires d’Afrique subsaharienne.

Aux deux audiences consacrées à la fuite en 2012, malgré une notice d’Interpol, de Béchir Saleh, proche de Kadhafi et ami de l’intermédiaire Alexandre Djouhri, l’ex-chef de l’Etat et Claude Guéant ont assuré n’avoir été au courant de rien.

Des chercheurs internationaux dévoilent les témoignages de 30 exilés subsahariens racontant la traite de migrants par les forces de sécurité tunisiennes vers la Libye. Leur document pointe du doigt le rôle de l’Union européenne.

Devant le tribunal correctionnel, Anne Lauvergeon, ex-dirigeante de la multinationale du nucléaire Areva, a fait part de son incompréhension face à l’activisme de l’ex-Président pour aider la Libye à se doter de réacteurs nucléaires.

Fervent soutien de la dynastie Assad depuis ses débuts, la Russie doit revoir ses positions suite à la prise de pouvoir par le groupe rebelle HTS le 8 décembre. Pour cela, le Kremlin n’a qu’un cap en tête : la Libye. Pourquoi ?

Une partie des médias n’osent pas traiter à sa juste valeur une affaire importante pour notre démocratie. La façon dont l’ex-président est «obligé» de lâcher ses plus fidèles éclaire la conception du pouvoir de cette génération politique.

Les familles des victimes de l’attentat du DC-10 d’UTA, en 1989, ont été entendues à la barre ce jeudi 23 janvier. Le soupçon d'un versement d'argent en échange de la levée du mandat d'arrêt du terroriste est au cœur du dossier.

Ossama Najim, dit Almasri, est visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale pour «crimes de guerre» et «crimes contre l’humanité». Il a pourtant été rapidement libéré et renvoyé à Tripoli.

Au procès du financement libyen supposé de la campagne de 2007, l’ex-ministre a reconnu ce mercredi 22 janvier avoir rencontré Abdallah Senoussi, terroriste recherché par la France, mais dément avoir négocié avec lui un apport d'argent.

Le tribunal avait eu la main lourde en première instance, en juin 2020, contre les six prévenus poursuivis dans l’affaire de rétrocommissions liées à des contrats d’armement, avec des peines de deux à cinq ans de prison ferme.

Ce lundi 20 janvier, le sulfureux personnage, omniprésent dans le dossier, a disserté sur ses puissants amis sans cesser de nier toute implication dans un quelconque financement libyen de la campagne de 2007.

Devant le tribunal judiciaire de Paris, Claude Guéant a peiné à expliquer, jeudi 16 janvier, les raisons d’un dîner secret, vingt ans plus tôt, avec le beau-frère de Kadhafi, terroriste condamné par la France après l’attentat du DC-10.

Deux ex-ambassadeurs et un ex-attaché de sécurité intérieur ont été auditionnés par le tribunal judiciaire de Paris. Les trois assurent avoir été tenus à l’écart de la relation nouée entre les sarkozystes et plusieurs responsables libyens.

Au premier jour des interrogatoires dans le procès du supposé financement libyen de la campagne présidentielle de 2007 de Nicolas Sarkozy, l’ancien président a nié avec véhémence tout financement étranger.

Le navire ambulance Ocean Viking, affrété par SOS Méditerranée, a secouru ce vendredi 10 janvier 101 migrants dont 29 femmes et 7 enfants dans une embarcation en bois au large des côtes libyennes. C’est son premier sauvetage de l’année.

A l’origine des révélations sur le supposé financement de la campagne de 2007 par la dictature libyenne, le site d’investigation sort un film retraçant l’affaire, tout en s’interrogeant sur son propre isolement médiatique.

Les projets de réhabilitation de la ville dévastée, qui avancent rapidement, sont une formidable opportunité politique et économique pour le clan Haftar, qui règne sur la région de la Cyrénaïque.

L’organisation de défense des droits de l’homme publie une enquête sur les acquisitions de matériel militaire par les parties au conflit. Les Emirats arabes unis apparaissent comme l’un des fournisseurs d’armes des Forces de soutien rapide.

Le gouvernement de Tripoli a tenté un coup de force en investissant le bâtiment de la Banque centrale pour remplacer son patron qui s’était rapproché du clan Haftar. La manœuvre à la légalité contestée a provoqué une levée de bouclier.

L’ «Ocean Viking», navire-ambulance de SOS Méditerranée, a secouru 196 personnes, dont 9 mineurs non accompagnés et une femme, ce mardi 30 juillet lors de deux opérations de sauvetage au large de la Libye, a annoncé l’ONG.

L’épouse de Nicolas Sarkozy est convoquée pour une possible mise en examen dans le cadre de l’enquête sur la rétractation, en 2020, de l’intermédiaire Ziad Takieddine.

Rencontre à Paris avec l’écrivain libyen pour la sortie de son premier roman dont le narrateur est un homme aimant les activités domestiques à l’encontre de son entourage et de la tradition.

«Du pain sur la table de l’oncle Milad», un premier roman libyen en forme de confession tragi-comique.

Secrètement, les Emirats arabes unis apportent un soutien militaire aux Forces de soutien rapide du général Hemetti, tandis que Le Caire et Ankara soutiennent l’armée régulière du général al-Burhane.

Après avoir arrêtés migrants et réfugiés subsahariens dans la rue ou les avoir interceptés en mer, les autorités tunisiennes continuent de les déporter aux frontières avec la Libye et l’Algérie.

Submergé par les vagues, l’embarcation a chaviré alors qu’elle transportait à son bord plus de 80 personnes, dont des femmes et des enfants, selon l’Organisation internationale pour les migrations.

L’ex-président, mis en examen pour «recel de subornation de témoin» et «association de malfaiteurs en vue de commettre une escroquerie au jugement en bande organisée» rejoint une improbable équipe qui cherchait à le disculper.