Mathilde Panot

Dans ce bastion acquis aux troupes de Jean-Luc Mélenchon, l’ex-présidente du groupe LFI à l’Assemblée a été réélue dès le premier tour au nom du Nouveau Front populaire dans la dixième circonscription du Val-de-Marne.

Tentant de minimiser les propos polémiques de Jean-Luc Mélenchon sur le chef du gouvernement du Front populaire en 1936, la présidente sortante du groupe LFI s’est pris les pieds dans le tapis.

Une vidéo partagée dans la nuit de lundi 17 à mardi 18 juin, montrant l’extrait d’un aparté entre Alexis Corbière et Ian Brossat suggère que le premier a insulté la députée LFI. Les deux hommes démentent.

Les deux élues insoumises sont entendues par la police ce mardi 30 avril, après des propos liés à la guerre entre le Hamas et Israël. En réaction, LFI a appelé à un rassemblement de soutien.

La justice est abusivement sollicitée pour sanctionner les tonitruants et leurs idées comme les déviants et leurs œuvres.

Trois jours après les attaques du 7 Octobre, le ministre de la Justice avait demandé une réponse pénale «ferme et rapide» notamment en ce qui concerne l’apologie du terrorisme.

Après la convocation de Mathilde Panot par la police dans le cadre d’une enquête pour «apologie du terrorisme», les différentes formations de gauche ont apporté leur soutien aux insoumis. Et dénoncé la gravité de la situation.

La convocation par la police de la présidente du groupe LFI à l’Assemblée est la dernière illustration d’un dévoiement de la notion d’«apologie du terrorisme» pour brider la liberté d’expression des militants et responsables politiques.

La rédaction de «Libération» compile les principales infos de ce mardi 23 avril.

La patronne des insoumis à l’Assemblée annonce ce mardi 23 avril avoir été convoquée pour être entendue par la police dans le cadre d’une enquête ouverte après le communiqué de son groupe publié le 7 octobre sur l’attaque du Hamas.

Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions: chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.

Le coordinateur des insoumis, Manuel Bompard, a plaidé mardi 5 mars pour remettre en cause la clause de conscience qui permet aux praticiens de refuser de pratiquer un avortement. Une demande de longue date des associations et de la gauche.

Certaines familles de victimes de l’attaque terroriste du mouvement islamiste, ainsi que des politiques de droite et de la majorité, s’opposent à la venue des insoumis à l’hommage prévu ce mercredi 7 février.

L’ex-député macroniste, fils d’Edmond, figure historique de la CFDT, est chargé du pavillon français pour l’Exposition universelle d’Osaka en 2025.

Huit parlementaires de la Nupes ont passé la nuit du mardi 16 au mercredi 17 janvier sous une tente de l’association Droit au logement, dans le VIIe arrondissement de Paris, en solidarité avec les sans-abri.

Au doublement du nombre de places d’hébergement brandi par Macron et son gouvernement, les élus LFI opposent un doublement du nombre de personnes «sans toit». Mais dans ce débat complexe, personne n’a vraiment raison ou tort.

Mathilde Panot a annoncé avoir déposé plainte devant la Cour de justice de la République pour «non-assistance à personne en danger et mise en danger de la vie d’autrui» contre les «ministres coupables de ces drames».

Dimanche, Emmanuel Macron a annoncé un projet de loi pour inscrire l’IVG dans la Constitution «d’ici la fin de l’année». Une décision saluée par les militantes, qui restent sur leurs gardes.

Même si la formulation proposée ne va pas aussi loin que celle adoptée à l’Assemblée, l’annonce par le chef de l’Etat du dépôt d’un projet de loi constitutionnelle pour empêcher tout recul futur sur le droit à l’IVG.

Lors de leur point presse hebdomadaire à l’Assemblée nationale, Mathilde Panot et Benjamin Lucas ont assuré que la coalition de gauche n’était pas encore enterrée.

Le malaise ne se dissipe pas autour du parti, critiqué de toutes parts ce mardi 10 octobre pour avoir refusé de qualifier le Hamas de mouvement terroriste. A gauche, la tension s’accroît avec les autres membres de la Nupes.

Les groupes politiques ont rivalisé d’initiatives ce mardi 3 octobre au sein de l’hémicycle pour inciter les pouvoirs publics à se saisir de ce «fléau». Une réunion interministérielle se tiendra ce vendredi.

La présidente du groupe insoumis, qui interpelle le gouvernement sur la recrudescence des punaises de lit depuis 2017, présente ce mardi une résolution à l’Assemblée nationale et appelle le gouvernement à enfin se saisir du sujet.

Reconnaissant le caractère «homophobe» du mot «tafiole» employé par la députée proche de Mélenchon, la cheffe du groupe LFI rappelle toutefois son travail à l’Assemblée et élude sur les sanctions éventuelles.

La présidente du groupe LFI à l’Assemblée, Mathilde Panot, a appelé ce jeudi 14 septembre ses homologues à soutenir la demande de création d’une commission d’enquête transpartisane, après la publication de deux livres sur le sujet.

Le patron du PS, Olivier Faure, et plusieurs parlementaires insoumis s’inquiètent des propos tenus jeudi soir par Gérald Darmanin lors d’une visite d’un commissariat et de son soutien «total» au patron de la police nationale.

Trois semaines après la mort de Nahel, le combat contre le racisme ne peut être mené par la rhétorique dangereuse de l’assignation d’identité.

La présidente du groupe La France Insoumise (LFI) à l’Assemblée nationale, Mathilde Panot, a assuré sur une chaîne d’infos en continu qu’il n’était «pas illégal» de participer à une manifestation interdite.

Jocelyn Dessigny, député RN a été sanctionné ce mardi pour avoir traité de «Poissonière» Mathilde Panot, la présidente du groupe LFI.

Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions: chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.

Pendant que la commission des affaires sociales détricotait le texte de Liot visant à abroger la réforme des retraites, un petit rassemblement contre les «magouilles» des macronistes se tenait aux Invalides.

La conférence des présidents de l’Assemblée nationale a rejeté la demande de la gauche de discuter en séance de la dissolution de la brigade parisienne accusée de violences policières lors des manifestations contre la réforme des retraites.

Les chefs de file des députés socialistes et insoumis relaient la pétition de 264 000 personnes qui ont demandé la dissolution de cette brigade motorisée critiquée pour ses méthodes violentes.

A l’initiative du site Reporterre et du journal «Fakir», toutes les composantes de la gauche tenaient un premier meeting commun contre la réforme des retraites, ce mardi soir à Paris.

Le mouvement de gauche doit porter ce samedi Manuel Bompard à sa tête, et présenter sa nouvelle équipe dirigeante. Plusieurs figures de premier plan ne devraient pas en faire partie, comme François Ruffin et Clémentine Autain.

La nouvelle figure des insoumis, qui a grandi dans le Loiret, bastonne sévère à l’Assemblée nationale en évitant de faire «ami-ami» avec la presse et ses adversaires politiques.

En convoquant un nouveau conseil de défense vendredi, sur les questions d’énergie cette fois-ci, le Président irrite la gauche qui dénonce «un outil antidémocratique» et un manque de transparence.

Contrairement à ce qu’ont pu affirmer Jean-Luc Mélenchon ou Mathilde Panot, le gouvernement français était bien représenté par son ambassadeur en Colombie lors de l’investiture de Gustavo Petro, le 7 août.

La présidente du groupe LFI à l’Assemblée, Mathilde Panot, dénonce le fait que les femmes qui osent s’exprimer dans l’hémicycle soient facilement qualifiées d’hystériques.

Elisabeth Borne, Yaël Braun-Pivet, Aurore Bergé, Marine Le Pen et Mathilde Panot occupent des postes clés au gouvernement et au Parlement. Mais la féminisation du pouvoir demeure précaire et les attaques sexistes persistent.