Meta

En dépit de leur allégeance, le président américain laisse les patrons de la tech se dépêtrer face à la justice américaine, afin de renforcer sa mainmise sur eux.

L’exécutif européen a appliqué pour la première fois son règlement DMA à deux géants américains du numérique. En décidant d’amendes symboliques et en leur donnant pas une forte publicité, il a surtout cherché à ne pas braquer Donald Trump.

Lors du procès antitrust visant Meta aux Etats-Unis, le cofondateur d’Instagram Kevin Systrom a dépeint un Mark Zuckerberg jaloux et prêt à freiner le développement de son appli.

Ces sanctions sont les premières prononcées dans le cadre du nouveau règlement européen sur les marchés numériques (DMA), entré en vigueur l'an dernier pour mettre fin aux abus de position dominante des géants de la tech.

TF1, France Télévisions, Radio France ou Le Figaro attaquent en justice Meta, la maison mère américaine de Facebook et Instagram. Une «première historique» selon leurs avocats.

L’instance a appelé mardi 22 avril le groupe a mieux évaluer les conséquences sur les droits humains de sa décision de sabrer dans le fact-cheking.

A l’heure où Meta est accusé d’avoir illégalement racheté WhatsApp en 2014, Elies Campo, un ex-employé de la messagerie, raconte à «Libé» les dessous de l’acquisition. Entre annonce surprise et promesses non tenues.

Une opération de hacking a été menée à travers l’état de l’ouest américain les 12 et 13 avril, remplaçant les instructions diffusées par quelques-uns de ces dispositifs routiers. Celles-ci ont temporairement été remplacées par des pastiches

La firme de Mark Zuckerberg a annoncé ce lundi 14 avril que le contenu public publié dans l’Union européenne sur ses multiples messageries et réseaux sociaux sera utilisé pour entraîner son équivalent de Chat-GPT.

L’essentiel de l’actualité de ce jour.

La société à la tête de Facebook est jugée ce lundi 14 avril dans le cadre d’un procès intenté par l’autorité américaine de la concurrence. L’objectif de cette dernière : démanteler le géant.

La lanceuse d’alerte et ancienne employée de Facebook Sarah Wynn-Williams a alerté cette semaine le Sénat américain sur l’instrumentalisation de l’activité numérique des adolescents pour leur recommander des publicités ciblées.

Netflix a mis en ligne, mercredi 9 avril, une série documentaire en trois épisodes qui met au jour les risques encourus par les enfants influenceurs à partir d’une affaire sordide.

Sarah Wynn-Williams, ex-salarée de Facebook et autrice d’un livre cinglant sur l’entreprise, a assuré mercredi 9 avril aux sénateurs américains que la firme de Mark Zuckerberg avait collaboré avec Pékin.

Le groupe des «Magnificent 7», l’indice des 7 actions technologiques les mieux cotées de l’histoire de la mondialisation, pâtit des annonces présidentielles et de l’incertitude économique qu’elles engendrent.

La société de Mark Zuckerberg annonce ce mardi 18 février un projet pharaonique visant à augmenter la connectivité entre les 5 continents.

La firme dirigée par Mark Zuckerberg rebrousse entièrement chemin, alors qu’elle avait banni le républicain de ses réseaux sociaux en 2021 après son appel à l’insurrection.

De nombreux internautes s’insurgent en découvrant qu’ils suivent, sans l’avoir voulu, les comptes du 47e président américain et de son vice-président sur les réseaux sociaux de Meta. Mais il s’agit d’une procédure habituelle aux Etats-Unis.

Le leader du groupe de rock américain R.E.M a suggéré de quitter collectivement les réseaux sociaux de Mark Zuckerberg pour une semaine, dès le 19 janvier.

Musk, Zuckerberg ou encore Bezos… Le mec de la tech, reformaté façon Trump, ce n’est pas John Wayne face aux Indiens ou Rocky : s’il montre ses pectoraux c’est pour ne pas avoir à s’en servir. «C’est un rescapé de l’enfer woke».

En engageant Meta et ses 4 milliards d’abonnés aux cotés de Trump et de Musk dans la «lutte contre les régulations», Mark Zuckerberg dévoile son visage anti-démocratique.

L’argument de la censure invoqué par le patron de Meta, pour mettre fin à son programme de fact-checking aux Etats-Unis est «faux» et va entraîner «un préjudice dans de nombreux endroits», a estimé jeudi 9 janvier l’IFCN.

Alors que Zuckerberg vient de prêter allégeance au duo Trump-Musk au nom de la «liberté d’expression», la chercheuse spécialiste des Etats-Unis analyse les ressorts idéologiques et stratégiques à l’œuvre.

En même temps que la fin du factchecking, Mark Zuckerberg a annoncé un revirement dans la façon dont sont modérés les réseaux sociaux de Meta, notamment concernant les LGBT+ et les femmes.

Mark Zuckerberg a annoncé la fin, d’abord aux Etats-Unis, du programme de vérification des faits lancé par Facebook en 2016.

Le patron de l’UFC, la plus grande ligue américaine de sports de combat aux Etats-Unis, proche de Donald Trump, rejoint la direction de la maison mère de Facebook, qui cherche à tout prix à s’attirer les faveurs du président élu américain.

Meta, la firme de Mark Zuckerberg, a reconnu auprès du «Financial Times» avoir mis au point une fonctionnalité permettant aux utilisateurs de ses réseaux sociaux de créer des personnages générés par intelligence artificielle.

Meta, Apple, Bloomberg et d’autres géants de la tech et des médias se nourrissent des scripts de 53 000 films et 85 000 épisodes de séries télé pour étoffer la base de données de leurs IA, révèle une enquête de «The Atlantic».

Google menace, lors d’un «test», de cacher une partie des journaux français. Cette décision illustre ses relations déséquilibrées, mais pas à sens unique, avec les acteurs de la tech, rappelle la spécialiste Ophélie Coelho.

Plusieurs titres de presse français ont annoncé mardi 12 novembre 2024 leur décision d’attaquer X dans un communiqué. Ils accusent ce réseau d’utiliser leurs contenus sans les payer et ainsi d’enfreindre le principe des «droits voisins».

Membre d’un «running club», des assos pour courir en groupe de plus en plus populaires dans les grandes villes, notre journaliste a participé à un footing à Paris organisé par une appli de rencontre.

Le groupe américain a annoncé ce mardi 17 septembre la création de «Comptes Adolescents», sous autorité parentale, pour mieux protéger les utilisateurs mineurs des dangers liés à Instagram.

La maison mère de Facebook, Instagram et WhatsApp a annoncé interdire aux médias d’Etat russes d’accéder à ses plateformes dans le monde entier, pour éviter toute «activité d’ingérence étrangère».

L’entreprise américaine a annoncé ce vendredi 13 septembre qu’elle va, «au cours des prochains mois», entraîner ses modèles d’intelligence artificielle avec les publications publiques de ses utilisateurs Instagram et Facebook dans le pays.

En Australie, les publications d’internautes partagées depuis 2007 ont entraîné l’IA de Meta, a annoncé une représentante du groupe. Seules les données des utilisateurs ayant opté pour un profil privé ont été épargnées.

Pour lutter contre les «Yahoo Boys», ces professionnels de l’escroquerie en ligne, Meta a décidé de frapper fort en supprimant par dizaines de milliers des comptes incriminés.

Dans une enquête à paraître mercredi 26 juin, le «Canard enchaîné» révèle les photomontages racistes et antisémites partagés par l’unité CRS 4 sur leur boucle WhatsApp.

Dans une plainte déposée mardi 4 juin, un Palestino-Américain adresse une longue liste d’accusations à l’égard de l’entreprise, notamment concernant sa modération du contenu relatif au conflit du Proche-Orient.

Si Meta a doublé son bénéfice net au premier trimestre, Wall Street s’inquiète du coût de plus en plus élevé de ses investissements dans l’intelligence artificielle (IA), ce jeudi 25 avril.

La multinationale américaine a été sommée par les autorités chinoises de supprimer l’application de messagerie instantanée et le réseau social, propriétés de Meta (Facebook), de la version chinoise de sa boutique virtuelle.