Mohammed ben Salmane

Personnalité emblématique des jeux de pouvoir et habitué des conseils d’administration des grosses boîtes, le président de l’Agence française pour le développement d’Al-Ula, en Arabie Saoudite, n’a pas été reconduit à l'issu de son mandat.

Mohammed ben Salmane, qui rencontre Emmanuel Macron vendredi 16 juin, entend renforcer la compétition nationale à coups de milliards. Après Cristiano Ronaldo et Karim Benzema, l’Arabie Saoudite espère attirer de nouvelles stars.

Le prince héritier d’Arabie Saoudite en visite en France sera reçu ce vendredi par Emmanuel Macron. Mohammed ben Salmane espère obtenir un appui à ses ambitions internationales, et faire oublier le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi.

Le président ukrainien, sur le chemin du G7 au Japon, annonce être arrivé ce vendredi 19 mai en Arabie Saoudite pour le sommet de la Ligue arabe qui se tient dans la ville côtière.

La chercheuse Agnès Levallois décrypte les raisons de la réintégration de la Syrie dans la Ligue arabe alors que Damas s’apprête à participer, vendredi en Arabie Saoudite, à son premier sommet depuis 2010.

Facilité par la Chine, le rapprochement diplomatique entre Riyad et Téhéran s’est traduit par la relance des pourparlers autour du pays en proie à une guerre dévastatrice depuis près de dix ans.

Pour la première fois en sept ans, les ministres des Affaires étrangères des deux rivaux du Moyen-Orient se sont entretenus à Pékin. Un rapprochement diplomatique qui pourrait désamorcer certaines tensions dans la région.

D’après Reprieve et l’Organisation saoudienne européenne pour les droits de l’homme, 129 personnes sont exécutées chaque année dans le royaume depuis 2015 et l’arrivée au pouvoir du roi Salmane, contre 70 avant.

la maison mère de l’encyclopédie participative a contesté les affirmations des ONG de défense des droits humains. Celles-ci assuraient la veille que Wikipédia avait été infiltré par les autorités saoudiennes.

L’Opep + a décidé de soutenir le prix du pétrole contre la volonté américaine. Cette tentative d’émancipation de Mohammed ben Salmane par rapport au vieil allié américain pourrait se heurter au besoin de protection de Riyad.

Des tribunaux spéciaux ont condamné à la peine capitale trois hommes établis avec leur tribu dans le désert saoudien. Ils s’opposaient à leur expulsion au profit du projet de mégalopole futuriste du prince héritier, Mohamed ben Salmane.

Le prince héritier Mohammed ben Salmane souhaite développer une mégalopole du futur, «le plus grand port flottant au monde» et une station de ski, où auront lieu les Jeux asiatiques d’hiver 2029.

Le ministère saoudien vante le rôle du prince héritier Mohammed ben Salmane dans la libération de dix citoyens étrangers dont la plupart étaient détenus par les forces pro-russes de la République populaire autoproclamée de Donetsk.

En Arabie Saoudite, une application développée par le gouvernement permet à n’importe quel citoyen de signaler des posts critiques du régime sur les réseaux sociaux. Une pratique qui a permis la récente condamnation de deux Saoudiennes.

Selon le tribunal, cette mère de cinq enfants a été condamnée pour avoir appelé «à participer à des activités troublant l’ordre public et menaçant la sécurité».

La récente réconciliation entre Ankara et plusieurs pays arabes, dont l’Egypte, menace les nombreux exilés ayant trouvé refuge à Istanbul. Beaucoup cherchent à fuir la Turquie pour l’Europe.

Après le dîner entre le dirigeant saoudien et le Président, l’Elysée a évoqué les nombreux sujets géopolitiques abordés entre les deux dirigeants. En passant, très vite, sur les droits humains. «MBS» a, de son côté, «remercié» son hôte.

La réception à l’Elysée, en grande pompe, de Mohammed ben Salmane, désigné comme le commanditaire de l’assassinat atroce du journaliste Jamal Khashoggi, est-elle indispensable à ce stade ?

La rencontre entre le président français et le prince héritier saoudien ce jeudi à Paris marque le retour en force de l’Arabie Saoudite, mise au ban de la communauté internationale après l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi.

Le prince saoudien, invité à dîner ce jeudi soir à l’Elysée par Emmanuel Macron, a fait escale dans le «Château Louis XIV», sa fastueuse propriété construite par la société d’Emad Khashoggi, cousin du journaliste éponyme assassiné en 2018.

Pour la première fois depuis 2018 et l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi, le prince héritier saoudien est en visite sur le sol européen, où, après deux jours en Grèce, il arrive en France. Jeudi, il dînera avec Emmanuel Macron.

Deux ONG ont annoncé déposer une plainte à Paris contre le dirigeant pour son rôle supposé dans l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi en 2018.

La visite à l’Elysée ce jeudi du prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane est critiquée par plusieurs membres de la Nupes, mais défendue par la macronie au nom de la «nécessité» du «dialogue».

Joe Biden est arrivé vendredi en Arabie Saoudite, qu’il qualifiait de «paria» il y a quelques années. Il a salué le prince Mohammed ben Salmane d’un check rapide. Un difficile jeu d’équilibriste dans un contexte international tendu.

Exportatrice de pétrole depuis 2019, l’Amérique subit malgré tout les chocs du marché. Face à la cherté de l’essence et à des sondages désastreux, Joe Biden espère que l’Arabie Saoudite l’aidera à faire baisser les cours.

L’inévitable poignée de mains avec Mohammed ben Salmane ne sera pas la seule épreuve pour le président américain sur la route semée d’embûches de cet Orient compliqué.

Le prince héritier saoudien, Mohamed ben Salmane, poursuit ce mercredi en Turquie une tournée régionale où il signe des milliards de dollars de contrats et d’investissements, tournant la page de l’assassinat de Jamal Khashoggi.

Le président turc, qui avait vivement critiqué l’exécution du journaliste saoudien en 2018 à Istanbul, entame une visite en Arabie Saoudite en quête de contrats pour relancer une économie et une livre turque qui dévissent.

Le président américain déroule le tapis rouge à l’émir du Qatar lundi à Washington. En pleine crise avec la Russie, il cherche à assurer les livraisons de gaz en Europe auprès de son allié qatari, premier exportateur mondial de gaz naturel.

L’ancien Premier ministre libanais a annoncé son retrait de la vie politique mardi, désemparé face à «l’influence iranienne» sur son pays, le «désordre» sur la scène internationale, le «confessionnalisme» et le «délitement de l’Etat».

Fervente militante des droits de l’homme et cousine critique de Mohammed Ben Salmane, cette femme d’affaires et sa fille avaient mystérieusement disparu, en mars 2019.

La personne appréhendée en France porte le même nom qu’un Saoudien impliqué dans le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi en 2018 à Istanbul et aujourd’hui incarcéré, assure l’ambassade d’Arabie Saoudite à Paris.

L’homme interpellé mardi à Roissy car soupçonné d’être un membre du commando qui en 2018 a participé au meurtre du journaliste saoudien n’est finalement pas le suspect recherché. Il a été remis en liberté.

La tournée du président français au Qatar, Emirats arabes unis et en Arabie Saoudite montre, une fois de plus, que la politique étrangère de Paris ne s’embarrasse pas de la question des droits humains quand il s’agit de vendre des armes.

Le président français et le prince héritier saoudien Mohammed Ben Salmane ont appelé ensemble au téléphone samedi le Premier ministre libanais, Najib Mikati, pour trouver une solution à la crise entre Beyrouth et Riyad.

En dépit de la question des droits de l’Homme, la ligue de football britannique a approuvé la vente du club de Newcastle à un fonds souverain saoudien.

D’Obama à Merkel en passant par le prince héritier MBS, tous ont utilisé un smartphone, plus ou moins sécurisé, malgré leurs responsabilités. Exception notable : Vladimir Poutine, qui n’en possède pas et n’en veut pas.

En janvier 2020, lors d’une réunion à Genève, un haut responsable saoudien a menacé Agnès Callamard, responsable de l’enquête sur l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi. Sans réaction de la part du gouvernement français.

Dans un document déclassifié vendredi, le renseignement américain affirme que MBS «a validé une opération à Istanbul pour capturer ou tuer le journaliste» en 2018, une révélation qui entraîne une crise majeure entre les deux pays.

Révélé par Reuters le document déclassifié est potentiellement explosif pour le prince héritier saoudien Mohamed ben Salmane qui pourrait faire l’objet de sanctions ainsi que pour les relations entre Washington et Ryad.