Netflix

Le géant américain Netflix a annoncé vendredi avoir déposé un recours au Conseil d'Etat pour contester la chronologie des médias, qui encadre les délais à partir duquel un film peut être diffusé après sa sortie en salles en France.

Netflix a mis en ligne, mercredi 9 avril, une série documentaire en trois épisodes qui met au jour les risques encourus par les enfants influenceurs à partir d’une affaire sordide.

Alors que la septième saison de la série dystopique est disponible sur Netflix, le scénariste explique, en compagnie de sa productrice, Jessica Rhoades, comment l’œuvre d’anticipation fait ressurgir nos angoisses contemporaines.

Malgré une esthétique lourde voire déplacée, le documentaire accroche grâce à la puissance de ses témoignages parfois oubliés. Et mesure le chemin parcouru, depuis 2003, dans les mots posés sur cette affaire.

Une tentative grotesque de satire des noces de l’électro et de la mode, avec Vincent Cassel en DJ has been, qui ressemble plutôt au symptôme de ce qu’elle aurait voulu dénoncer.

La série diffusée sur Netflix depuis le 13 mars a ouvert un débat national. Une opportunité dont le gouvernement, qui peine à légiférer sur le sujet, s’est emparé via une plateforme partenaire.

La nouvelle production Netflix a déclenché une vague de réactions émanant de personnalités britanniques, de chercheurs, mais aussi de législateurs qui s’interrogent sur les risques de l’influence des réseaux sociaux sur les jeunes hommes.

L’âge ingrat dans toute son horreur, dans une série judiciaire britannique en quatre plans-séquences. Un peu plus qu’un coup de force. A voir sur Netflix.

La mégaproduction des frères Russo n’a rien d’autre à proposer qu’un concept SF poussif et mille fois vu et revu.

Une nouvelle marque, une série «lifestyle» : la duchesse de Sussex enterre son personnage de féministe pour tenter de se forger une place, plus sage, d’influenceuse cuisine et jardinage.

L’escroc britannique a été condamné ce jeudi 6 février par le tribunal correctionnel de Guéret pour avoir blessé deux gendarmes en août 2022 en prenant la fuite. Son histoire a inspiré une série documentaire Netflix.

L’homme de 53 ans a renversé en août 2022 deux gendarmes dans la Creuse en prenant la fuite. S’il est jugé ce jeudi 6 février pour ces faits, Freegard est un escroc britannique dont la folle et sombre histoire a engendré un docu Nefflix.

Trimbalant son antihéros du Mexique à sa Palestine natale, la série égare son récit de déracinement dans un trop-plein de gags et détours.

En s’engageant à investir dans l’écosystème français via un accord annoncé ce mercredi 29 janvier, la plateforme de streaming américaine pourra désormais diffuser les films neuf mois après leur sortie en salles.

Si cette hypothèse émise par un journal américain est discutée, il est certain que le géant du streaming crée des contenus standardisés et simplifiés pour s’adapter aux habitudes de ses usagers «multi-écrans».

Vingt ans après leur dernière apparition au cinéma, le tandem emblématique de l’animation en stop-motion est de retour sur Netflix avec «la Palme de la vengeance», sorte de medley à la justesse admirable.

La plateforme, qui diffuse à partir de ce jeudi 26 décembre de nouveaux épisodes de son plus gros succès, investit massivement dans le pays, vitrine de sa stratégie consistant à produire local pour toucher un public mondial.

Les plateformes enguirlandent leurs catalogues de fantaisies de saison, tâchant de prendre à contrepied les codes de la féerie pour des résultats pour le moins désastreux.

Un journaliste traqué, incarné par un Colman Domingo impeccable, traverse toutes les strates d’une Amérique malade et fracturée. Un projet ambitieux mais qui manque de souffle.

Des applications donnant accès aux films et séries de Netflix ou Disney + continuent de tromper la vigilance d’Apple et fédèrent des centaines de milliers d’utilisateurs en France. Toutes sont revendiquées par un même développeur, «Le R».

Les locaux de la filiale française du géant du streaming ont été perquisitionnés ce mardi 5 novembre par des agents de l’Office central de lutte contre la corruption et du Parquet national financier.

Après une demande de libération conditionnelle formulée la semaine passée, Erik et Lyle Menendez, condamnés à la prison à perpétuité pour les meurtres de leurs parents à Beverly Hills en 1989, demandent à être graciés.

Trois ans après son premier volet, la série sud-coréenne, ambiance secte et jugement dernier, creuse sa mythologie dans une veine plus cynique et haletante, au risque de perdre en subtilité.

L’hebdomadaire culturel présentait lundi un lifting de son magazine et de son application, destiné à continuer de rajeunir son audience, en permettant notamment à ses lecteurs de s’y retrouver dans la jungle des Netflix et consorts.

Malgré un cadre splendide et un casting de stars, avec Nicole Kidman et Isabelle Adjani, la série sur un fastueux mariage perturbé par un meurtre manque de mordant.

Les séries et documentaires adaptés de faits divers rencontrent un succès grandissant sur les plateformes. Au risque de créer la confusion autour de victimes et d’accusés pourtant bien réels, les productions devancent la justice.

Depuis le début du mois d’août, Netflix diffuse l’intégralité de la série américaine, à l’exception d’un épisode qui montrait un «blackface», sans en informer ses abonnés ni justifier ce choix.

Sensible et convaincant, le film aborde, sous des airs de comédie romantique ordinaire, des thèmes sur lesquels on ne l’attend pas.

Le cinéaste Vincent Dietschy, qui accusait la plateforme d’avoir utilisé son idée d’un monstre nageant dans le fleuve parisien, a été débouté par le juge des référés ce mercredi 3 juillet.

Dans le sillage du documentaire «Black Barbie», «Libération» a recueilli les témoignages de femmes noires qui ont grandi sans jouets qui leur ressemblent et de parents confrontés à cette problématique.

Netflix a fait face à une accusation de parasitisme, notion proche du plagiat et de la concurrence déloyale, au tribunal judiciaire de Paris ce jeudi 14 juin pour son film «Sous la Seine».

Après avoir été traquée sur les réseaux sociaux, la femme qui a inspiré le rôle de Martha, harceleuse dans la série «Mon petit renne», porte plainte contre Netflix pour diffamation.

Plus de 7 000 acteurs demandent dans une tribune une rémunération proportionnelle au succès de leurs œuvres par les plateformes de streaming. L’initiatrice du mouvement, l’actrice Anne Bouvier, défend cette lutte auprès de «Libé».

Dans la série, Martha envoie plus de 41 000 mails au comédien Richard Gadd. Elle le traque, le harcèle. Que de la «fiction» et de «l’hyperbole», estime dans une interview Fiona Harvey, la femme soupçonnée d’avoir inspiré le personnage.

L’adaptation du ­roman-monde de Tom Wolfe, décevante, pêche par son manque de profondeur et une simplification excessive de son sujet.

La scène, diffusée en masse sur les réseaux sociaux, a été captée sur le tournage d’une prochaine série pour Netflix, «Zero Day».

Inspirée de la vie de son créateur et interprète, Richard Gadd, la série sur un humoriste et la femme qui le harcèle embarque le spectateur dans un bouillonnement de souvenirs refoulés qui emprunte au thriller paranoïaque.

Enième fiction sur un tournage de film, la série incarnée par Pierre Niney pèche par son effet de redite et son humour à la limite du tolérable.

Sorti ce vendredi sur Netflix, le film revient sur l’histoire de l’un des plus célèbres forums du Web, dont la liberté de ton a débouché sur les pires dérives et alimente aujourd’hui l’ultra-trumpisme.

David Benioff et D.B. Weiss («Games of Thrones») adaptent la trilogie SF à succès du Chinois Liu Cixin, présentée en ouverture de Séries Mania ce vendredi 15 mars, puis diffusée sur Netflix. Une première saison fascinante et originale.