Otan

Deux appareils, dont l’un chargé d’explosifs, se sont écrasés en moins d’un mois sur le petit Etat balte, qui demande des moyens supplémentaires et «expérimentaux» pour surveiller son ciel.

Le président des Etats-Unis a menacé Moscou de sanctions douanières «sévères», ce lundi 14 juillet, si un accord de cessez-le-feu en Ukraine n’était pas trouvé d’ici 50 jours.

Ces derniers mois, la marine belge observe une nette augmentation de passages de navires russes en mer du Nord. Face à la menace, elle n’hésite plus à évoquer un conflit invisible qui s’intensifie dans ses eaux.

Paris et Londres ont convenu, ce jeudi 10 juillet, d’une coordination militaire et politique sur le dossier nucléaire, sur fond de guerre en Ukraine et de retrait américain du conflit.

Au sommet de l’Otan, le président américain est arrivé gonflé de son prétendu «succès» en Iran : faut-il vraiment se contenter de flatter la brute comme le préconisent les praticiens du trumpisme ?

L’essentiel de l’actualité de ce jour.

Le président ukrainien, qui a pu s’entretenir avec Donald Trump en marge du sommet de l’Otan, peut aussi être satisfait de la déclaration finale et de l’aide accrue promise à l’Ukraine.

Inquiet de la possible décision du président américain de se retirer de l’Alliance atlantique, le secrétaire général, Mark Rutte, lui a écrit un message privé tout en flatteries. Publié par Trump sur son réseau social.

L’essentiel des informations sur la guerre en Ukraine ce mardi 24 juin 2025.

Alors que les 32 pays membres devraient s’accorder sur une forte hausse de leurs dépenses militaires, l’entrée des Etats-Unis dans le conflit Israël-Iran pourrait pousser Donald Trump à délaisser la défense de l’Europe contre la Russie.

Pour la première fois de son histoire, la pays rend hommage dimanche 15 juin aux soldats de la Bundeswehr dans un contexte de réarmement massif du pays et de spéculations sur le retour du service militaire obligatoire.

Les bombardements de l’Etat hébreu dans la nuit du 12 au 13 juin ont rapidement suscité une avalanche de réactions internationales, se divisant entre appels à la désescalade, soutiens à Israël ou alors à Téhéran.

Un objectif de 5 % de leur PIB national consacré aux dépenses militaires, au lieu de 2 % actuellement : c’est le sujet majeur des discussions entre ministres de la Défense des pays de l’Alliance ce jeudi 5 juin, avant le sommet de La Haye.

D’après une étude publiée par l’Observatoire des conflits et de l’environnement, la course à l’armement observée à travers le monde « aggrave la crise climatique à long terme ». Et renforce la probabilité de nouveaux conflits.

Selon des résultats quasi définitifs, le maire de Bucarest, Nicusor Dan, l’a emporté devant le candidat nationaliste, George Simion. Celui-ci avant pourtant largement dominé le premier tour, avec 41% des voix.

Le candidat d’extrême droite, hostile à l’aide à l’Ukraine et partisan de Trump, est favori pour le second tour qui aura lieu dimanche. Il est soutenu par tout ce que l’Europe compte de souverainistes.

Alors que l’Europe célèbre les 80 ans de sa libération, un collectif de politiques et de personnalités appelle à la mise en place d’une défense commune européenne en réponse au désengagement sécuritaire de Donald Trump.

Dans un rapport publié ce lundi 28 avril, l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri) révèle que les dépenses militaires du globe ont connu en 2024 une hausse de plus de 9,4% par rapport à 2023.

Acteur indispensable de l’organisation transatlantique en mer Noire, où s’est tenu l’exercice multinational Sea Shield cette semaine, Bucarest est à la fois menacé par les velléités de retrait de Donald Trump et son propre avenir politique.

Alors que Donald Trump remet en question la participation des Etats-Unis à l’Otan, «Libération» vous explique en vidéo pourquoi les dirigeants européens tentent de remédier à leur vulnérabilité face aux forces du Kremlin.

Grisé par la formidable puissance que lui confère la Maison Blanche, le milliardaire ne cesse d’en repousser les limites. Mais sa force se heurte à celle de la Russie de Poutine, et l’Europe prend conscience de sa nécessaire émancipation.

Les dirigeants prêts à aider au maintien de la paix en Ukraine en cas de cessez-le-feu avec la Russie se sont entretenus ce samedi 15 mars. Une réunion militaire aura lieu jeudi prochain pour continuer les discussions.

Depuis la Maison Blanche, le président américain a réitéré ses visées sur l’immense territoire voisin, en présence du secrétaire général de l’Otan. En réaction, le Premier ministre groenlandais a décidé de réunir tous les chefs de partis.

En dehors du financement, les militaires font face à un immense défi : comment dépenser, au mieux, l’argent promis, en articulation avec les alliés européens et de l’Otan.

Les autorités centrales souhaitent interroger le leader de l’entité serbe dans le cadre d’une enquête pour «attaque contre l’ordre constitutionnel», après ses manquements et ses provocations répétés.

Le président ukrainien, qui était à Londres avec ses partisans occidentaux après la réunion catastrophique de vendredi à Washington, a également rappelé qu’il n’était pas opposé à un départ dans le cas d’une adhésion de l’Ukraine à l’Otan.

La quinzaine de chefs d’Etats européens rassemblés à Londres pour un sommet ont montré qu’ils soutiendraient l’Ukraine « aussi longtemps qu’il le faudrait », France et Royaume-Uni en tête.

L’ancien secrétaire général adjoint de l’alliance atlantique, Camille Grand, analyse les scénarios possibles et les conséquences pour les Européens en cas de désengagement des Etats-Unis, après les menaces de Donald Trump.

Emmanuel Macron a confirmé ce mardi 18 février au soir la tenue de nouvelles discussions mercredi sur la sécurité européenne et des Etats-Unis. Des pays supplémentaires, dont le Canada, seront présents, a confirmé l’Elysée.

De la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen au chef de l’Otan Mark Rutte en passant par Keir Starmer, les dirigeants européens ont multiplié les réactions ce lundi 17 février au soir à l’issue de la réunion d’urgence.

Les chefs de gouvernements du Vieux Continent se sont entretenus à Paris lundi 17 février lors d’un sommet d’urgence sur la défense de l’Ukraine. Peu avant, le président français a eu un entretien téléphonique avec son homologue américain.

Envoi de troupes, renforcement de la défense européenne, une dizaine de dirigeants de pays européens et de l’Otan se réunissent ce lundi 17 février dans la capitale. Ils veulent définir une réponse commune pour garantir la paix en Ukraine.

Plusieurs ministres de la Défense de l’Otan, réunis ce jeudi 13 février à Bruxelles, ont exprimé leur volonté d’impliquer l’Ukraine dans les pourparlers de paix, évoqués par les présidents américain et russe la veille.

Lors d’un déjeuner à Bruxelles avec ses homologues de l’Otan, Pete Hegseth, secrétaire américain de la Défense, a multiplié les déclarations sur l’Ukraine, réaffirmant notamment la volonté de Donald Trump de voir l’Europe s'engager plus.

Les actions hostiles de Moscou combinées aux menaces de désengagement de Washington obligent les dirigeants européens à trouver des solutions, notamment financières, pour se défendre seuls.

Depuis l’invasion de l’Ukraine, Moscou mène des opérations hostiles mais discrètes dans la Baltique, mer stratégique devenue un «lac otanien» depuis l’adhésion de la Suède et de la Finlande à l’Alliance atlantique.

Le ministre de la Défense britannique, John Healey, a mis en garde Moscou ce mercredi 22 janvier, après qu’un «navire espion russe» a été repéré lundi dans la Manche par la Royal Navy.

Tétanisés par le retour au pouvoir du président conservateur, les Vingt-Sept ne sont pas prêts à riposter s’il s’attaque immédiatement à eux. Un immobilisme préoccupant, selon le politologue Bruno Tertrais.

Alors que son mandat touche à sa fin, Joe Biden multiplie les gestes financiers et militaires en faveur de Kyiv. Une ultime tentative de renforcer l’Ukraine dans sa guerre avec la Russie, à laquelle Donald Trump promet de mettre fin.

Depuis le début d’année, le continent fait face à de multiples menaces hybrides contre des infrastructures stratégiques visant à déstabiliser nos sociétés, que chercheurs et décideurs estiment venir de Russie.