Paul Watson

Seul pays avec la Norvège et le Japon à la tolérer, l’île a permis jeudi 5 décembre à deux de ses baleiniers de poursuivre cette pratique controversée pour les cinq prochaines années.

Le défenseur des baleines a vu, ce lundi 2 décembre, sa sixième demande de remise en liberté refusée. «Libération» décrypte les rouages géopolitiques entre pressions japonaises, françaises et désir de souveraineté des Féroé et du Groenland.

Ce jeudi 21 novembre marque le quatrième mois d’emprisonnement du protecteur des baleines. La présidente de Sea Shepherd France détaille à «Libé» ses conditions de détention et décrypte les rouages politiques et diplomatiques de ce dossier.

Incarcéré au Groenland, depuis le 21 juillet, le défenseur des baleines voit sa détention provisoire prolongée, mercredi 13 novembre, dans l’attente de la décision du gouvernement danois concernant son éventuelle extradition.

La France gagnerait à renouer avec une tradition ancienne : celle d’offrir sa nationalité aux combattants de la liberté, où les défenseurs de l’environnement peuvent côtoyer les opposants aux totalitarismes.

Détenu à Nuuk au Groenland depuis le mois de juillet, le militant écologiste souhaite obtenir la nationalité française, selon une information du quotidien «Le Monde», afin de contourner le risque d’extradition vers le Japon.

Incarcéré à Nuuk, capitale du territoire autonome danois depuis 21 juillet, le fondateur de Sea Shepherd voit sa quatrième demande de mise en liberté rejetée ce mercredi. Le tribunal groenlandais prolonge sa détention jusqu’au 13 novembre.

Le militant écologiste, derrière les barreaux depuis près de 90 jours, a demandé au président français de lui accorder l’asile politique en France, affirme son ONG Sea Shepherd ce mercredi 16 octobre.

«Libération» révèle de nouvelles informations et les véritables raisons de l'arrestation du fondateur de Sea Sheperd. Grâce à l’analyse de plusieurs heures de vidéo, de documents judiciaires et de témoignages inédits.

Incarcéré à Nuuk, capitale du territoire autonome danois depuis le 21 juillet, le fondateur de Sea Shepherd voit sa troisième demande de mise en liberté rejetée, mercredi 2 octobre. Le tribunal groenlandais prolonge donc sa détention.

Sur la foi de documents judiciaires et de témoignages inédits, «Libération» révèle la fragilité des accusations ayant conduit les autorités nippones à émettre un mandat d’arrêt international contre le fondateur de Sea Sheperd.

Une demande de remise en liberté du fondateur de Sea Sheperd, en prison au Groenland, est examinée ce 1er octobre. Le défenseur de l’environnement à l'ONU craint une violation des textes internationaux sur la «démocratie environnementale».

Les défenseurs de l’activiste des océans Paul Watson, emprisonné au Groenland, dénoncent le rôle proactif du Danemark dans l’arrestation de leur client. Ils demandent sa remise en liberté et le rejet de la demande d’extradition au Japon.

La justice danoise a décidé ce jeudi 5 septembre de maintenir en détention le militant antichasse jusqu’au 2 octobre, en attendant que le gouvernement se prononce sur la possibilité d’une extradition vers le Japon.

Le fondateur de l’ONG Sea Shepherd a, selon sa défense, été interrogé ce mercredi par le parquet de Nuuk sur le fond du dossier et notamment sur les incidents qui ont conduit le Japon à émettre contre lui un mandat d’arrêt international.

En détention au Groenland, l’activiste fondateur de l’ONG de protection des océans Sea Shepherd, attend de savoir s’il sera extradé au Japon. De sa cellule, le «capitaine», qui écrit et regarde des séries, dénonce la vendetta du Japon.

L’association Vétérinaires pour la biodiversité exige la libération sans conditions du fondateur de l’ONG Sea Shepherd, car son action militante est légitime pour défendre des baleines menacées et fondamentales pour l’écosystème marin.

La détention de Paul Watson est bien prolongée jusqu’au 5 septembre, a confirmé la justice groenlandaise ce mardi, en attendant que le gouvernement danois se prononce sur la possibilité d’une extradition vers le Japon.

Face à la possible extradition du militant écologiste Paul Watson au Japon, fervent opposant à la chasse à la baleine, l’océanographe rappelle l’importance de protéger ces grands cétacés, essentiels aux écosystèmes marins.

Inlassable défenseur des cétacés, adepte des coups d’éclat et de l’action radicale, le fondateur de Sea Sheperd, emprisonné au Groenland depuis le 21 juillet, a appris jeudi 15 août qu'il resterait derrière les barreaux.

Le militant écologiste américano-canadien, arrêté le 21 juillet et visé par un mandat d’arrêt international émis par le Japon, était présenté ce jeudi 15 août à un tribunal danois au sujet de la prolongation de sa détention.

Des dizaines de personnes, militants, sympathisants ou personnalités, ont manifesté ce week-end dans plusieurs villes, dont Paris, contre l’extradition éventuelle du célèbre défenseur des baleines.

Près de 200 personnes étaient réunies à Paris ce samedi 3 août pour dénoncer l’arrestation du militant écologiste et revendiquer sa libération. Au sein du cortège, l’incompréhension règne.

Le Japon a exigé l’extradition de Paul Watson, célèbre militant écologiste et fondateur de l’ONG Sea Shepherd, en détention depuis le 21 juillet au Groenland, selon le ministère danois de la Justice ce jeudi 1er août.

Un collectif d’artistes exhorte Emmanuel Macron à intervenir auprès des autorités japonaises pour libérer Paul Watson, sauveur d’un peuple marin qui continue d’être massacré au mépris des lois internationales.

Pour les pêcheurs de cétacés, dont la société propriétaire du Kangei Maru, l’activiste écologiste est vu comme un empêcheur de tourner en rond et doit être puni.

Après l’arrestation, dimanche 21 juillet au Groenland, du militant écologiste Paul Watson, son avocat Me François Zimeray alerte sur le risque d’une éventuelle extradition vers un archipel qui «continue d’exercer la peine de mort».

Le fondateur de l’ONG de défense des océans a été arrêté par les autorités danoises ce dimanche 21 juillet. Selon Sea Shepherd, le capitaine risque «l’extradition» vers le Japon, qui avait émis un mandat d’arrêt en 2012.

Arrêté par la police danoise au Groenland, le capitaine du «Sea Shepherd» risque d’être extradé vers le Japon. Un collectif de personnalités demande à Emmanuel Macron d’intervenir auprès de la Première ministre danoise.

La police du Groenland a arrêté Paul Watson, célèbre militant écologiste canadien opposé à la chasse à la baleine et visé par un mandat d’arrêt international émis par le Japon, ont annoncé sa fondation et les autorités concernées.