Pouvoir d'achat

L’attitude du président américain ces derniers mois alimente l’incertitude économique, qui a des conséquences sur le moral des ménages et des industriels français.

Cette réforme déposée à l’Assemblée ce mardi 20 mai doit permettre à un salarié de réclamer jusqu’à cinq fois par mois une partie de sa paie. Ce qui ne règle pas la question des rémunérations, pour certains représentants syndicaux.

En moyenne, les retraités actuels ont un niveau de vie réel supérieur à ceux d’il y a vingt-cinq ans. Mais en tenant compte des seules personnes à la retraite sur la période, leur pouvoir d’achat a bien diminué.

Alors que les prix du gaz et de l'essence sont au plus bas, les enseignes Leclerc et Intermarché marquent le coup et proposent une opération commerciale ce week-end.

Près de la moitié des Français renonceraient à l’achat de produits hygiéniques et de beauté pour des raisons financières, d’après le dernier baromètre du réseau associatif Dons Solidaires.

Dans «le Désir de nouveautés», la philosophe Jeanne Guien déconstruit cinq siècles de discours sur les notions d’évolution et de progrès, et prouve que la «néophilie», cet attrait pour le neuf, n’a rien de naturel ni d’instinctif.

Pour préserver le pouvoir d’achat des citoyens, le roi Mohammed VI a appelé à ne pas acheter d’ovins cette année pour la fête traditionnelle. Les agriculteurs, eux, attendent des mesures de l’Etat pour éviter la faillite.

Selon les chiffres de l’Insee, publiés ce vendredi 28 février, les prix n’ont augmenté que de 0,8 % sur le deuxième mois de l’année. Signe que l’inflation ralentit de nouveau après un léger rebond en janvier 2025.

Pour l’association de consommateurs, qui publie un rapport ce mardi 25 février, la réforme du marché de l’électricité entraînerait une hausse des tarifs de près de 20 %, un chiffre rejeté par le gouvernement.

Avec la crise, le mont-de-piété de la préfecture du Rhône «se porte très bien». Un service public qui permet de joindre les deux bouts ou faire face aux aléas, et évite à de nombreuses familles de tomber dans la spirale du surendettement.

Le ralentissement de l’inflation a permis au e-commerce de battre de nouveaux records en 2024, selon les chiffres de la fédération du secteur publiés jeudi 13 février.

Cinq eurodéputés écologistes réclament des investigations sur les pratiques anticoncurrentielles de GBH en outre-mer et pointent le rôle de la France dans le non-respect du droit communautaire.

Plusieurs changements vont être appliqués en France, à partir du samedi 1er février 2025. Si nombre d’entre eux touchent à la fiscalité, d’autres concernent la santé ou encore la télévision. «Libé» fait le point sur les nouveautés.

L’Insee a confirmé ses prévisions moroses pour la croissance française en 2024, dans son bulletin publié jeudi 30 janvier.

Une dérogation permettait depuis quatre ans de payer les courses alimentaires en titres déjeuner. Celle-ci n’a pas pu être prolongée avec la censure du gouvernement. La chambre haute pourrait définitivement la rétablir, mardi 14 janvier.

Cette hausse de 0,3 % par rapport au mois précédent a été portée par les achats de biens fabriqués et la consommation alimentaire, selon l’étude de l’Insee parue ce vendredi 10 janvier.

Chez certains boulangers et en magasin, les galettes des rois coûtent plus cher que l’an dernier. La faute, d’après le secteur, à l’augmentation du prix du beurre, denrée de base dans l’Hexagone, devenu un produit mondialisé.

Selon une étude de la fédération du commerce et de la distribution, les ventes de foie gras ont augmenté de plus de 31 % en 2024 par rapport à la même période l’année dernière. En revanche, les ventes de vins effervescents ont chuté.

Tête d’affiche rousse des gilets jaunes, cette aide-soignante normande renonce à manifester mais tient toujours à l’égalité fiscale et sociale.

Le blocage parlementaire compromet la prolongation de l’utilisation des titres-restaurant dans les supermarchés pour 5,4 millions de salariés. Mathilde Panot presse Gérard Larcher d’agir.

Conséquence de la censure du gouvernement, le Parlement ne peut pas examiner la proposition de loi qui visait à prolonger jusqu’en 2026 la possibilité de payer ses courses en titres-restaurant. Le dispositif prendra donc fin dès 2025.

Chef de file du mouvement contre la vie chère, le Martiniquais a été écroué ce jeudi 5 décembre à l’issue d’une audience à la cour d’appel de Fort-de-France, après son irruption au domicile du préfet de l’île le 11 novembre.

Rodrigue Petitot, leader du mouvement contre la vie chère en Martinique, a été reconnu coupable d’intimidations à l’encontre des maires de l’île.

Dans un contexte de perte de pouvoir d’achat, un sondage acte la volonté des Français de se détourner des produits non essentiels, traditionnellement prisés, au profit d’achats du quotidien.

Dans une étude révélée ce lundi 25 novembre, la Commission nationale des titres-restaurant révèle les habitudes de dépenses des bénéficiaires. Le secteur de la restauration reste largement en tête mais des pistes d’amélioration existent.

L’Assemblée nationale s’est unanimement prononcée mercredi en faveur du maintien de la dérogation permettant d’utiliser les titres-restaurant dans les supermarchés pour acheter les produits alimentaires. Le Sénat doit encore se prononcer.

Rodrigue Petitot surnommé «le R», interpellé le 12 novembre, a été placé vendredi sous contrôle judiciaire avant son procès fixé en janvier. La justice lui reproche d’avoir commis des violences lundi contre le préfet de Martinique.

Arrêté après s’être introduit sans autorisation dans la résidence préfectorale, le leader du RPPRAC a été libéré et placé sous contrôle judiciaire jeudi 14 novembre en fin de soirée. Il doit être jugé ce vendredi 15 novembre.

Le président du RPPRAC a été arrêté mardi 12 novembre pour s’être introduit dans l’enceinte de la résidence du préfet de l’île afin de rencontrer le ministre des Outre-mer. Dans la foulée, des tensions ont éclaté.

Ecoulés à des prix dérisoires dans les enseignes de hard discount, encensées sur les réseaux sociaux, les imitations de célèbres fragrances cartonnent et interrogent le modèle économique des maisons de parfumerie.

Quelques milliers de personnes issues de la diaspora ultramarine, vêtues de rouge, ont manifesté dimanche après-midi dans les rues de la capitale contre les prix élevés. Rodrigue Petitot, le leader du mouvement en Martinique, en était.

Alors que l’indice des prix à la consommation était encore en hausse de 4% il y a un an, il se stabilise à présent à 1,2% grâce « un ralentissement des prix des services et d’une baisse de ceux de l’énergie ».

«Libération» fait le point sur les principales évolutions en ce mois de novembre.

Les députés ont rejeté ce vendredi 25 octobre une des principales mesures du projet de budget de l’Etat. Il autorisait le gouvernement à taxer l’électricité à un niveau supérieur à la période d’avant crise énergétique.

Dans une interview au «Parisien», la secrétaire d’Etat à la consommation assure que l’exécutif soutiendra une proposition de loi qui envisage de prolonger l’utilisation des titres-restaurant pour les courses alimentaires.

Si les salaires dans le secteur privé ont globalement augmenté, l’inflation est, elle, encore plus montée. Concrètement, le pouvoir d’achat du salaire net moyen en 2023 est à son niveau de 2019.

Malgré l’accord signé mercredi avec les distributeurs pour baisser les prix alimentaires de 20 %, le collectif à l’origine de la protestation a appelé samedi 19 octobre à continuer le combat.

Le couvre-feu nocturne a été prolongé jusqu’au 21 octobre dans l’île, a annoncé la préfecture. Prévue ce mardi 15 octobre, la septième réunion de négociation pour faire baisser le coût de la vie n'aura pas lieu.

Dans l’une des plus importantes grandes surfaces de la banlieue de Fort-de-France, les Martiniquais croisés samedi racontent tous la même colère face à des prix qui varient souvent du simple au double par rapport à la métropole.

Dans le nord de l’île, les habitants vivent au rythme des blocages et des nuits d’insurrection dans le sillage du mouvement contre la vie chère. Et rejettent en majorité la réponse purement sécuritaire du ministre de l’Intérieur.