Rima Hassan

Selon le «Parisien» ce samedi, le président du Sénat a porté plainte contre l’eurodéputée insoumise le 16 avril dernier, à la suite d’un post (toujours en ligne) de Rima Hassan sur X.

L’eurodéputée a assuré ce jeudi 27 février au micro de Sud radio que le droit international justifie la lutte armée «dans un contexte de colonisation», tout en reconnaissant que les exactions n’étaient pas légitimes.

L’élue a été empêchée d’entrer sur le territoire israélien en compagnie d’une autre eurodéputée et de deux fonctionnaires du Parlement européen. La délégation devait se rendre en Cisjordanie dans le cadre d’un déplacement autorisé fin 2024.

Le ministère de l’Intérieur israélien a annoncé lundi 24 février que l’eurodéputée insoumise franco-palestinienne avait essuyé un refus de leur part, après avoir tenté d’entrer dans le pays, dans le cadre d’une visite parlementaire.

Auprès de CheckNews, l’eurodéputée indique n’avoir jamais ouvert de compte sur Bluesky.

Faute d’avoir rempli les conditions ordonnées par le tribunal administratif de Strasbourg pour assurer la sécurité de la rencontre, Rima Hassan ne tiendra pas sa conférence sur le campus de l’université de la ville, prévue jeudi 13 février.

Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions : chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.

D’après les informations de «CheckNews», six classements sans suite ont été décidés dans les procédures pour apologie du terrorisme visant des députés LFI. Dont quatre le 24 janvier, et deux dès février 2024.

Les eurodéputés étaient amenés jeudi 23 janvier à se prononcer sur une résolution portée par l’extrême droite appelant à la libération de l’écrivain Boualem Sansal, emprisonné en Algérie depuis novembre.

Outre les convocations de Rima Hassan et Mathilde Panot au printemps 2024, LFI indique ignorer les suites données aux plaintes, portées notamment par des associations juives. Deux ont été classées sans suite, a appris «CheckNews».

Le débat sur l’abrogation du délit d’apologie du terrorisme a été relancé, fin 2024, par une proposition de loi des députés LFI. CheckNews fait le point sur l’avancée des procédures et leur supposée «inflation» depuis le 7 octobre 2023.

La justice «enjoint» ce vendredi 22 novembre à l’Institut d’études politiques de Paris de permettre la tenue de l’événement qui avait été interdit par la direction mardi «pour risque d’atteinte à l’ordre public».

Les propos de l’eurodéputée insoumise sur le réseau social X créent une nouvelle polémique alors qu’Emmanuel Macron reçoit ce vendredi les chefs de parti du Nouveau Front populaire.

L’élue insoumise a visé sur le réseau social X (ex-Twitter) son collègue de droite en des termes jugés menaçants par celui-ci. L’eurodéputé s’estime désigné «à la vindicte des milieux islamistes».

Explication anticipée de mon vote pour la tête de liste PS aux européennes, dans l’espoir qu’une gauche inventive en finisse avec la fureur destructrice insoumise.

Dénonçant les attaques subies par plusieurs responsables insoumis depuis mercredi 8 mai, la présidente de la région Occitanie appelle à «un rassemblement allant de Clémentine Autain jusqu’à Pascal Canfin».

Vue plus d’un million de fois, la séquence réalisée par une structure cofondée par le publicitaire accuse la candidate LFI d’avoir menti sur le statut de réfugié de ses ascendants, ses études ou encore l’activité de son ONG.

Les deux élues insoumises sont entendues par la police ce mardi 30 avril, après des propos liés à la guerre entre le Hamas et Israël. En réaction, LFI a appelé à un rassemblement de soutien.

Trois jours après les attaques du 7 Octobre, le ministre de la Justice avait demandé une réponse pénale «ferme et rapide» notamment en ce qui concerne l’apologie du terrorisme.

Des personnalités et organisations de gauche ont été récemment inquiétées par la justice pour ce chef d’accusation après des propos en lien avec l’attaque du 7 Octobre. Elles dénoncent une manière d’éteindre les critiques envers Israël.

Des structures comme l’Organisation juive européenne ont initié des procédures contre des personnalités pro-palestiniennes. Amenant à des classements sans suite, des convocations par la police, ou des condamnations dans certains cas.

Dans une tribune à «Libération», la députée Renaissance explique les raisons de son opposition à la venue de l’avocate franco-palestinienne et du leader insoumis au sein de l’université.

Ces trois faits récents sont symptomatiques de l’attitude répressive et pusillanime du gouvernement. Un risque pour la démocratie.

La Franco-Palestinienne a appris ce vendredi 19 avril qu’elle était convoquée par la police pour des faits qui se seraient produits entre le 5 novembre et le 1er décembre. L’intéressée dit ne pas savoir ce qui lui est reproché.

Avec ces européennes, du côté de LFI, c’est comme si deux campagnes parallèles avaient lieu : une sur les sujets internationaux menées par le duo Mélenchon-Hasson et l’autre de la tête de liste Manon Aubry.

Une conférence de Jean-Luc Mélenchon et de la militante franco-palestinienne controversée Rima Hassan prévue jeudi 18 avril a été annulée par l’université de Lille.

Ils font partie des visages montants de la politique française et demeurent méconnus du grand public. Chez Pol part à leur rencontre. Aujourd’hui, l’activiste et juriste franco-palestinienne, candidate aux européennes sur la liste LFI.

Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions : chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.

Appel à la destruction de l’Etat d’Israël pour les uns, revendication d’un Etat où les Palestiniens vivraient libres pour les autres, retour sur cette formule souvent employée depuis le début de la guerre.

Figure d’une nouvelle génération d’activistes, la Franco-Palestinienne née dans un camp de réfugiés en Syrie veut faire entendre une autre voix pendant la guerre.