Tsahal

Ohad Hemo est le premier journaliste étranger à avoir eu accès à des réfugiés du camp installé dans le nord de la bande de Gaza. Et comme par hasard, ceux-ci sont tous d’accord avec la version israélienne de la guerre.

Dans une région chrétienne du Nord-Liban, 27 personnes dont 7 enfants sont morts dans une frappe israélienne dimanche 10 novembre. L’opération inédite soulève autant de questions que d’inquiétudes.

Accusé de mettre en danger les militaires de la Finul en menant son invasion militaire dans le sud du Liban, Israël a contre-attaqué en reprochant à la mission d’avoir fermé les yeux sur l’implantation du Hezbollah.

Tsahal a diffusé samedi une vidéo montrant le chef du Hamas dans un tunnel de la bande de Gaza quelques heures avant l’attaque menée par le mouvement islamiste palestinien contre le sud d’Israël le 7 octobre 2023.

Nétanyahou presse les Nations unies d’évacuer la force d’interposition déployée à la frontière. Après des tirs contre des soldats de la Finul, l’escalade s’est poursuivie dimanche avec l’intrusion de chars de Tsahal dans un camp de l’ONU.

Encerclée par l’armée israélienne, la ville du nord de l’enclave est le théâtre de bombardements et de combats d’une grande violence depuis plusieurs jours. De nombreux civils seraient pris au piège.

L’eurodéputée LFI a dénoncé les louanges reçues par la chaîne de la part du porte-parole de l’armée israélienne, avant que les deux présentateurs n’interrompent le duplex.

Ce geste de l’armée israélienne qui a planté hier son étendard dans le sud du Liban s’inscrit dans une longue histoire qui lie drapeaux, terres appropriées et conquêtes militaires, explique l’historien Florian Besson.

Jusqu’ici resté attentiste dans le conflit qui oppose Israël au Hezbollah, Beyrouth a annoncé jeudi avoir répondu à des tirs de Tsahal qui ont tué déjà deux de ses soldats dans le sud du pays.

Trois jours après avoir éliminé le chef du Hezbollah, Tsahal a lancé des opérations au sol, dans le sud du Liban. Le Département d’Etat américain assure qu’il s’agit d’offensives destinées à frapper des infrastructures de la milice chiite.

L’armée israélienne dit vouloir mener dans les territoires occupés une opération antiterroriste «précise et focalisée», qui a déjà fait au moins 16 morts. Pour les Palestiniens, la chape de plomb s’alourdit.

Malgré l’épuisement des soldats et les doutes des généraux, Benyamin Nétanyahou défend son bilan à Gaza et semble déterminé à engager l’armée dans une guerre sans fin, y compris sur le front libanais.

Pour le géopolitologue franco-libanais, les Etats ont peu à peu repris le chemin des armes il y a vingt ans, au moment où les promesses de la mondialisation, de la révolution technologique et de la démocratisation du monde ont été déçues.

Tsahal rejette en partie la responsabilité du lourd bilan humain du bombardement sur la potentielle présence d’un dépôt de munitions du Hamas, et fait valoir que la frappe n’a pas touché la «zone humanitaire».

L’image est au centre du conflit. Un colloque international intitulé Captation, circulation et effets des images de guerres, de conflits et d’émeutes se tient ces jeudi 23 et vendredi 24 mai à l’Institut catholique de Paris.

Rencontre entre la journaliste israélienne Lee Yaron, qui publie une somme de témoignages de survivants du 7 Octobre, et le dessinateur Joann Sfar, qui réunit dans un roman graphique les pages qu’il crayonne depuis l’attaque terroriste.

Sept employés de l’ONG ont été tués lundi 1er avril dans une frappe de l’armée israélienne. Peu connue du grand public, l’organisation a été fondée par un cuisinier espagnol, arrivé aux Etats-Unis à 21 ans où il a fait fortune.

D’après le «Washington post», qui cite des sources israélienne et américaine, le patron du mouvement islamiste palestinien utiliserait des otages israéliens pour se protéger. Sa traque est l’une des priorités d’Israël.

Le 12 février, l’armée israélienne est parvenue à libérer deux otages dans le sud de la bande de Gaza. L’opération nocturne a été accompagnée de nombreuses frappes qui ont causé la mort de dizaines de personnes, dont de nombreux enfants.

L’anthropologue palestinien veut porter la voix des personnes queers palestiniennes, et explique pourquoi, à ses yeux, il n’est pas contradictoire pour les personnes LGBT+ de soutenir la Palestine.

Théorisé par l’universitaire américaine Jasbir K. Puar, ce concept vient pointer la récupération des droits LGBT+ à des fins de propagande.

L’accès au territoire palestinien reste impossible pour la presse depuis le début du conflit. Tsahal affirme ne pas savoir si un accès plus libre à la faveur de la trêve, qui débute ce vendredi 24 novembre, sera envisageable.

Faut-il montrer ou pas les images de l’attaque du Hamas contre Israël du 7 octobre ? Le maître de conférences n’est pas favorable à leur diffusion publique et alerte sur la nécessité de surmonter la sidération.

Le ministère des Finances a confirmé auprès de «CheckNews» qu’il est illégal de remettre un reçu fiscal contre des dons destinés à fournir une aide aux soldats israéliens. Nous avons fait réagir les associations concernées.

Tsahal assure ce mardi 14 novembre avoir pris le contrôle de plusieurs bâtiments officiels du mouvement islamiste dans la ville de Gaza.

Dans une vidéo postée le 10 octobre, l’avocate Sarah Saldmann encourage les dons pour financer l’équipement de soldats de Tsahal, affirmant qu’ils sont éligibles à des déductions fiscales.

Le politiste cerne les effets dans la société israélienne de l’attaque terroriste du 7 octobre et de l’offensive sur Gaza. Il décrit un camp de la paix «terrassé» et craint que l’extrême droite ne poursuive son ascension.

En 2014, alors qu’il faisait son service militaire, Ariel Bernstein, 29 ans, a été envoyé dans l’enclave palestinienne avec son unité. Aujourd’hui militant pour la paix, il redoute les conséquences d’une inéluctable offensive terrestre.

Médias et ONG ont documenté l’utilisation par l’armée israélienne de munitions au phosphore blanc dans le cadre des bombardements qui visent Gaza, mais l’ambassade d’Israël dénonce une «distraction des horreurs commises par le Hamas».

Sensible au sort des Gazaouis bloqués dans l’enclave palestinienne sous les bombardements, l’Egypte refuse toujours d’ouvrir sa frontière et d’accueillir des centaines de milliers de réfugiés.

Douze Palestiniens et un soldat israélien ont péri dans cette offensive sans précédent en Cisjordanie depuis plus de vingt ans.

Selon Tsahal, les trois hommes avaient ouvert le feu sur des soldats israéliens au barrage de Surra-Jit, une zone où se multiplient les opérations militaires.

L’armée israélienne a confirmé cette opération contre «le quartier général» d’un nouveau groupe de combattants palestiniens à Naplouse. Depuis le début du mois, 29 Palestiniens et deux soldats israéliens ont été tués.

L’armée israélienne admet sa responsabilité dans la mort de plusieurs enfants palestiniens le 7 août lors d’un raid contre l’enclave de Gaza, alors qu’elle avait d’abord accusé le Jihad islamique.

Si les responsables de Tsahal, l’armée israélienne, estiment qu’aucune des deux parties n’a à gagner d’une escalade, les tensions font craindre une surenchère potentiellement hors de contrôle à la frontière israélo-libanaise.

Dans la nuit de mercredi à jeudi, trois tirs de roquette ont visé Israël. Tsahal a répliqué en menant des raids aériens sur le Liban-Sud, une première depuis 2014.

Des vidéos de civils tués par des bombardements à Gaza circulent depuis dix jours. «CheckNews» a réussi à authentifier ces images et à les localiser.

Pour l’ancien ambassadeur d’Israël en France, Elie Barnavi, les tensions sont le résultat d’années de politiques de négligence et de division de la part du gouvernement.

Avertis par l’armée israélienne, de nombreux médias ont annoncé jeudi soir une attaque terrestre de Tsahal dans la bande de Gaza avant de devoir faire marche arrière.

Après les tirs sur Jérusalem et Tel-Aviv, deux lignes rouges dans ce conflit ritualisé, Nétanyahou pourrait intensifier ses frappes pour saper le mouvement islamiste.