Vivendi

Les salariés de l’hebdomadaire, en grève depuis plus d’un mois, déplorent «la rupture des négociations avec la direction» annoncée lundi 24 juillet mais restent ouverts à des discussions pour «avancer vers la sortie du conflit».

Les changements importants au «JDD» et «Paris Match» menés par l’actionnaire Lagardère, en passe d’être racheté par Vivendi, ont mis la puce à l’oreille sur une éventuelle prise de contrôle anticipée de la part du groupe de Vincent Bolloré.

Selon «le Monde», la librairie indépendante de Saint-Germain-des-Prés à Paris serait engagée dans des tractations pour être rachetée par le groupe Bolloré, pour un montant de 4,5 millions d’euros.

Contraint par la Commission européenne de céder son magazine de presse people pour récupérer «Paris Match», le groupe de Vincent Bolloré a annoncé avoir choisi une offre de la filiale de Dassault.

Les journalistes de la rédaction du Journal du Dimanche ont annoncé la reconduction de la grève jusqu’à mardi 4 juin. C’est la première fois que l’hebdomadaire ne s’imprime pas deux fois d’affilé.

Plusieurs députés ont interpellé l'exécutif ce mardi, lors des questions au gouvernement, alors que la nomination à la tête du «Journal du dimanche» de Geoffroy Lejeune provoque de vives réactions dans la classe politique et médiatique.

La patron du groupe Lagardère, racheté par Bolloré, assure lundi 26 juin qu’il a pris «seul» la décision de nommer à la tête du JDD le journaliste Geoffroy Lejeune, connu pour ses positions marquées à l’extrême droite.

L’eurodéputé EE-LV a envoyé une lettre à la commissaire européenne à la concurrence pour alerter sur les soupçons de «gun-jumping», soit la réalisation anticipée de l’opération de concentration, dans le rapprochement entre les deux géants.

Ce vendredi, la Commission européenne a donné son accord pour que Vivendi et Lagardère, les deux géants français des médias, puissent fusionner. Néanmoins certaines conditions devront être respectées.

Le groupe de Vincent Bolloré envisage de céder ses dernières activités de logistique à celui de Rodolphe Saadé pour 5 milliards d’euros. Le premier acterait ainsi son recentrage sur les médias, le second confirmerait sa montée en puissance.

En réponse aux demandes de la Commission européenne dans son projet d’acquisition de Lagardère et devenir propriétaire de «Match», le groupe de Vincent Bolloré a choisi, mardi 11 avril, de vendre l’hebdo people de sa filiale Prisma.

Le banquier d’affaires est poursuivi pour avoir bénéficié de contrats avec EDF sans appel d’offres. Il espérait être dispensé de peine en échange du paiement d’une amende. La justice a refusé et il devra comparaître en correctionnel.

Cette décision sonne comme la conclusion d’un bras de fer judiciaire perdu par la première chaîne. Et intervient à deux semaines du début de la Coupe du monde de football au Qatar.

Le tribunal de commerce de Paris a débouté jeudi la première chaîne de ses demandes de rétablissement de son signal via l’offre satellite TNT Sat, gérée par Canal, dans le conflit qui oppose les deux groupes audiovisuels.

La chaîne d’info de Vivendi a vu ses revenus augmenter de 22% en 2021, à la faveur de l’actualité politique et de son modèle de journalisme low-cost. Sa grille de rentrée n’a pas bougé.

Contraint par le droit de la concurrence européen, le groupe Vivendi a finalement consenti à céder le géant Editis, afin de mettre la main sur Hachette. Une opération qui ne rassure pas pour autant les professionnels.

Le magazine a mis en avant le cardinal Robert Sarah, très apprécié dans les milieux catholiques intégristes. Pour la Société des journalistes, cette décision a été imposée par le nouvel actionnaire Vincent Bolloré.

En 2023, le groupe Lagardère veut redonner à la station musicale son nom historique, selon un communiqué paru mercredi. Un retour vers le passé encore soumis à un agrément de l’Arcom.

L’ancienne journaliste, actuellement directrice de collection, a été choisie pour diriger cette grande maison d’édition littéraire, dont le propriétaire, Lagardère, a été racheté par Vivendi, détenu par le milliardaire Vincent Bolloré.

Le groupe de Vincent Bolloré lance ce jeudi le processus de rachat boursier de l’entreprise dirigée par Arnaud Lagardère. L’opération pose des problèmes de concurrence dans l’édition, avec le rapprochement d’Hachette et d’Editis.

Auditionné par la commission d’enquête sur la concentration des médias, le PDG à la tête d’Europe 1 ou «Paris Match» a tenté de justifier les rapprochements effectués avec Vivendi, même l’OPA lancée sur son groupe, qu'il jure «amicale».

Dans «Bolloré, l’homme qui inquiète», Vincent Beaufils passe en revue le parcours et les traits de caractère de l’homme d’affaires breton qui s’apprête à céder les commandes de son empire à ses héritiers. Si c’est vraiment le cas.

Le milliardaire breton a transformé la papeterie familiale en empire industriel et médiatique. Du manoir en pierre aux usines de batteries, «Libé» s’est rendu sur les terres natales de la dynastie, où le patron de Vivendi revient ce jeudi.

L’économiste s’inquiète de la surconcentration dans les médias et l’édition, qui conduit à une surenchère droitière du débat public, et fait des propositions pour renforcer la régulation de ces secteurs.

S’ils partent divisés dans cette présidentielle, les candidats écologiste, insoumis, socialiste et communiste promettent tous plus de régulation de l’Etat dans le secteur audiovisuel et des droits supplémentaires pour les rédactions.

Les ambitions de Vincent Bolloré, qui lorgne Hachette depuis plusieurs années, pourront être limitées par la commissaire chargée de la concurrence.

A la tête de Vivendi, Bolloré va lancer une OPA sur le premier groupe du secteur du livre. Si l’offre doit encore être examinée par la Commission européenne, éditeurs et auteurs s’inquiètent d'une situation de monopole.

Le milliardaire poursuit sa fuite en avant afin de renforcer son empire industriel. Avec ce nouveau projet d’offre publique d’achat, il espère asseoir son emprise dans le secteur de l’édition après sa récente razzia dans les médias.

Interrogé par les sénateurs dans le cadre de la commission d’enquête sur la concentration des médias, le milliardaire breton a joué le «nain» sans dessein idéologique mais au service de la France face à des Gafam affamés.

Le directeur adjoint de la rédaction du «Point» et invité récurrent de CNews va devenir le directeur général de la rédaction du «Journal du dimanche».

Active à partir du 1er janvier, la nouvelle autorité de régulation est issue de la fusion du CSA et de la Hadopi. Elle supervisera les contenus diffusés à la radio et à la télévision et sur toutes les plateformes internet.

Le groupe du milliardaire breton a reçu une offre de l’armateur MSC de 5,7 milliards d’euros pour le rachat de ses activités portuaires en Afrique.

Annoncée le 15 septembre, l’OPA du groupe de Vincent Bolloré sur Lagardère va être accélérée, avec en ligne de mire la succession de l’homme d’affaires breton prévue pour février 2022.

Ports, entrepôts, chemins de fer… Le magnat de l’industrie a demandé à une banque d’affaires de plancher sur la vente de l’énorme branche transports qu’il détient en Afrique, évaluée entre 2 et 3 milliards d’euros.

Le géant des médias Vivendi, qui détient déjà 27% de Lagardère, se donne jusqu’au 15 décembre 2022 pour réaliser cette opération. Elle est annoncée à un prix de 24,1 euros, soit environ 20% de prime par rapport au cours actuel.

Europe 1 a décidé de se séparer de son humoriste emblématique Nicolas Canteloup. Celui qui officiait dans la matinale depuis 2005 s’était récemment montré très critique à l’égard de Vincent Bolloré, première actionnaire du groupe Lagardère.

Exit Patrick Cohen, Matthieu Belliard ou Anne Roumanoff. Bonjour Laurence Ferrari, Dimitri Pavlenko ou Romain Desarbres, tous transfuges de CNews. Le mercato d'Europe 1, reprise en main par Vivendi, bat son plein ces derniers jours.

L’assemblée générale des actionnaires du groupe a acté ce mercredi sa transformation en société anonyme. Le milliardaire breton fait entrer des fidèles au conseil d’administration.

Ciblé par une motion de défiance des grévistes de la station la semaine dernière, le directeur de l’information, au management décrit comme autoritaire, est soupçonné d’être le principal artisan du rapprochement en cours avec CNews.

Devant les salariés, les dirigeants de la station ont présenté mardi un nouveau projet éditorial pour tenter de redresser la radio, tout en laissant entendre qu’un arrimage à CNews, propriété de Vivendi, était envisageable.