Nini: qu'est-ce qui vous a donné envie d'écrire l'histoire de "Futuropolis"?
Florence Cestac: c'est une véritable aventure et je sentais que c'était le moment de la raconter.
Stéphanie: cette "véritable" histoire est-elle une réponse au débat qui a entouré la reprise du nom "Futuropolis" par d'autres que vous il y a deux ans ?
Non, j'ai voulu raconter l'histoire de "Futuropolis", raconter comment s'était passé notre aventure, mais pas du tout dans la nostalgie, ni "c'était mieux avant".
Nini: vous avez fondé et développé avec Etienne Robial la librairie "Futuropolis", puis le éditions du même nom, qu'en est-il maintenant de la librairie et de la maison d'édition?
La librairie, c'est un marchand de chaussures qui s'est installé à la place. La maison d'Editions continue, avec d'autres gens.
Machinchose: aujourd'hui, "Futuropolis" ça vous inspire quoi?
Ils font des beaux livres, bien fait comme les nôtres, mais ça n'a rien à voir avec ce qu'on faisait avant. Chacun son tour, et place aux jeunes!
Didon: d'où vous vient votre passion pour la bande dessinée?
J'étais cancre, exactement dans le même cas de figure que Pennac. Pour m'évader de tout ça, je dessinais tout le temps. J'achetais des petits formats qu'on trouvaient kiosque, genre Pepito, Blek le Rock, ou d'autres, j'en ai beaucoup consommé.
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publié le 12 octobre 2007 à 7h00
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