Analyse

Les effets pervers de la loi bioéthique.

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Depuis la loi de 1992, pour les prélèvements d'organes, la famille substitue son avis à celui du défunt quand celui-ci ne s'est pas exprimé de son vivant, et les médecins renoncent à demander des autopsies pour préciser les causes de la mort.
publié le 22 novembre 1997 à 12h38
(mis à jour le 22 novembre 1997 à 12h38)

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