TRIBUNE

Si la défense du leader kurde avait vu ses droit respectés, l'Etat turc se serait trouvé coupable de tortures, d'assassinats, de crimes de guerre et de déportations de masse. La machine de guerre du procès Öcalan.

Article réservé aux abonnés
publié le 7 juin 1999 à 23h23

Les plus lus