TRIBUNE

En juin, une affaire de «dioxine» effraya le consommateur. En août, une affaire de «boues». S'il faut toujours être vigilant en matière de sécurité sanitaire, des termes scientifiques mal expliqués ont, dans les deux cas, provoqué une peur infondée. Ces mots qui entachent le goût du poulet.

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publié le 29 septembre 1999 à 0h54

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