Il fait trop chaud. Beaucoup trop chaud. Résultat, des tempêtes
meurtrières dévastent la France en plein hiver puis des orages inconcevables s'abattent sur notre pays. Seuls les naïfs seront surpris. Nous savons depuis vingt ans que la température augmente régulièrement dans l'hémisphère Nord et nous savons pourquoi: à cause de l'augmentation anormale de l'effet de serre. Nous en connaissons la cause principale: la pollution. Nous avons des coupables: les pays occidentaux, qui sont à l'origine de 80% des émanations de gaz à effet de serre et principalement le gaz carbonique (CO2). Gaz qui est principalement émis par la circulation automobile (25% du total) et que les divers «puits naturels» (océans, forêts) n'arrivent plus à absorber. Nous connaissons aussi les remèdes à appliquer pour éviter une possible catastrophe climatique: réduire drastiquement les diverses sources de pollution. Ramener la vitesse de tous les véhicules à moins de 100 km/h. Consommer différemment, refuser les produits issus de l'agriculture productiviste (10% de la production de gaz à effet de serre), refuser les produits dont les emballages finiront immanquablement dans les incinérateurs (encore 10% de pollution supplémentaire), pratiquer le recyclage, le tri sélectif" Une majorité d'Européens ont déjà pris conscience, et depuis longtemps, qu'il est urgent d'agir. Ils auront l'occasion de se faire entendre, à Paris, au mois de septembre, lors de la conférence préparatoire au sommet international de La