Sur les fragiles traces de Jean Zay.
Article réservé aux abonnés
Ministre de l'Education du Front populaire à qui l'on doit tout ce qui fait l'école moderne, Jean Zay a été arrêté par Vichy et assassiné en 1944. Pourtant, rares sont ses empreintes dans la ville. En réalité, il s'incarne dans ses filles, Catherine et Hélène, toutes deux engagées dans la vie de la cité.