N'allez pas croire que le rentring soit un concept, c'est une pub. Une campagne de communication destinée aux early-jobers «les 26-30 ans qui ont fini leurs études et s'installent à Paris dans un 30 mètres carrés» (dixit Orange) se devait d'être tendance. L'opérateur historique s'est inspiré des modes du clubbing, cocooning et autre fooding pour inventer un anglicisme : le rentring. Ce que cela signifie ? Pas grand-chose, si ce n'est que c'est à la maison que tout se passera pour les futurs abonnés de l'offre triple play : celle qui donne envie de rentrer au plus vite chez soi pour profiter tranquille de l'Internet haut débit, d'un bouquet de chaînes télés et des appels illimités en soirée depuis son mobile vers les autres GSM de la marque pour 39,90 euros par mois.
Rupture. Dès le 1er décembre, 20 000 personnes pourront souscrire à cette offre disponible uniquement en Ile-de-France et sans abonnement téléphonique. Une première chez Orange, qui est aussi le seul à proposer un couplage Internet-téléphonie mobile. Pour vanter les vertus de ce pack, l'opérateur a décidé de rompre avec les pubs à la papa et a demandé à l'agence la Chose de lui concocter une campagne qui commence en ligne, s'affiche en ville et finit en ligne. D'abord l'infiltration avec la phase 1 lancée le 10 novembre. Objectif: créer un buzz en postant sur les forums Internet des questions du type : «Connaissez-vous le rentring ?» Puis quatre j