Et c'est comme ça que sans avoir rien demandé, sans même penser qu'on est en assemblée de hackers, de geeks ou de rebelles de l'iPhone, à un simple déjeuner campagnard, à jeun (relativement), on entend des trucs comme «tu vas voir, ça va être la folie, on va gèlebrèquer le 4». Enfin, c'est peut-être pas ça, la phrase, mais il y avait quelque chose comme «gèlebrèque» dedans.
En cherchant un peu sur le réseau mondial, on tombe sur des trucs désopilants du genre «le baseband 1.59.00 est désimlockable avec ultrasn0w actuellement», ce qui est sûrement une bonne nouvelle, ou encore «le développeur de UMBRELLA a trouvé une méthode simple pour restaurer en iOS 4.1 mais sans toucher aubaseband, un peu comme restaurer un CUSTOM FIRMWARE (mais dans ce cas pas de jailbreak Clin d'œil)». Ouahou ! S'ensuit une sombre affaire de «tuto», (un tutoriel, après enquête, veut dire mode d'emploi, quoi), mais une chose est sûre, on a trouvé la bonne orthographe de «gèlebrèque» : jailbreak, ou action de «débrider ton iPhone pour pouvoir installer des applications dessus qui ne sont pas forcément fournies par Apple et pour lesquelles Apple ne touche pas de royalties», explique un des convives.
Une manipulation reconnue depuis juillet pas illégale aux Etats-Unis, au regard de la loi sur le droit d'auteur. Le jailbreak devient légal mais le téléchargement d'applications sous copyright reste illégal. En France, la q