Manifestement, ça peut être jouissif : «C'est sensible, réactif, très puissant.» Coquet : «Mon iPad est rangé dans une coque en cuir noir.» Quasi mystique : «Chez moi, c'est religieux. Je suis Mac. Tout Mac. Alors, bien sûr j'ai acheté l'iPad. Avant même sa sortie en France. A Dubaï. Ça téléphone pas. M'en fous, je l'ai.» C'est un fait : les tablettes (et notamment l'iPad) ont déjà leur fan club. Tout un petit monde de CSP+, urbain, plutôt masculin (en général c'est monsieur qui achète, âge moyen 40 ans). Evidemment, chacun a inventé ses usages : «Ça me sert à la fois de deuxième écran pour lire les news, de seconde télé dans la cuisine en préparant le dîner, de réveil matin, de calculatrice…» ; «je fais jouer mes petits-enfants dessus»; «ça me permet de surfer dans mon lit… ou en réunion sans me faire remarquer»; «je me suis procuré un adorable petit support qui permet de placer mon bel iPad tout neuf dans une position idéale pour la lecture : pourquoi ce genre d'option n'est pas distribué avec cette merveilleuse machine?». Et enfin :«Je place ma tablette sur les genoux. Je mets une serviette dessus et ensuite mon assiette. Ma fourchette à gauche, mon couteau à droite… et je commence à manger. C'est très pratique.» Sans blague ?
«Micro-ondes». Forcément, titiller (via Internet ou de visu) des «iPadistes» et autres détenteurs de tablettes sur leurs pratiques expose à ce genre de